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La situation à la ligne de démarcation dans le Haut-Karabakh s’est aggravée le 27 septembre 2020 au matin. Comme l’a annoncé la République autoproclamée, les militaires azéris ont ouvert le feu sur son territoire, faisant des victimes civiles. Bakou et Erevan se rejettent l’un l’autre la responsabilité de l’escalade. La loi martiale a été décrétée en Arménie, l’Azerbaïdjan n’a pas tardé à mettre en place une mesure similaire dans plusieurs villes et régions du pays.
Le Président azéri a pointé du doigt l’ingérence de la France dans le conflit du Haut-Karabakh, invitant ironiquement Macron à céder la ville de Marseille à l’Arménie ou à donner l’indépendance aux Corses et aux Basques. Il a également réfuté les accusations sur la présence de djihadistes syriens sur le champ de bataille.
En accusant Recep Tayyip Erdogan de déclencher des guerres dans le monde pour détourner l'attention des Turcs des problèmes internes à leur pays, Bachar el-Assad a précisé à Sputnik que le Président turc avait également encouragé le conflit dans le Haut-Karabakh. Selon lui, Damas peut le confirmer.
Lors d’un entretien téléphonique ce 5 octobre à l’initiative du Premier ministre arménien Nikol Pachinian, Vladimir Poutine a de nouveau souligné la nécessité d’établir un cessez-le-feu dans le Haut-Karabakh, informe le service de presse du Kremlin.
Le ministre canadien des Affaires étrangères a réitéré que la solution pacifique était la seule option acceptable au Haut-Karabakh où les offensives se poursuivent depuis le 27 septembre et a informé que, suite aux informations assurant que des technologies canadiennes étaient employées, son pays suspendait les licences d’exportation pertinentes.
Des menaces inacceptables pour la région du Haut-Karabakh et sa stabilité ont été évoquées par les ministres russe, français et américain des Affaires étrangères, condamnant avec la plus grande fermeté l’escalade sans précédent et dangereuse de la violence, dans un communiqué conjoint publié ce lundi 5 octobre.
Les forces arméniennes pointent du doigt l’arrivée de djihadistes dans les zones de conflits du Haut-Karabakh. Certains d’entre eux seraient drogués, d’après les témoignages. Ce n’est pas la première fois que des djihadistes sont soupçonnés de consommer des stupéfiants.
Le ministère iranien des Affaires étrangères a levé le voile sur une proposition de paix pour résoudre le conflit au Haut-Karabakh qui oppose depuis quelques jours les forces armées arméniennes et azerbaïdjanaises, a fait savoir son porte-parole lors d’une conférence de presse, selon Nour News.
C’est comme si Paris se distanciait du processus de règlement, a déclaré le Président azerbaïdjanais Ilham Aliev, ajoutant que les déclarations du Président Macron sur le Haut-Karabakh étaient «inadmissibles». La veille, il avait déjà exigé dans une interview que la France présente ses excuses.
Quelque 173 maires, députés et sénateurs français, dont Anne Hidalgo et Laurent Wauquiez, appellent dimanche la France à sortir de sa position de neutralité face à «l'agression azerbaïdjanaise contre les Arméniens» au Nagorny Karabakh, région séparatiste que l'Azerbaïdjan cherche à reconquérir.
Lors des combats transfrontaliers dans le Haut-Karabakh entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan, Erevan a annoncé avoir détruit des camions azerbaïdjanais. Selon la porte-parole de la Défense arménienne, des soldats se trouvaient à l’intérieur.
Dans son entretien à l’édition Bild, le Premier ministre arménien a mis en garde l’Europe contre une mauvaise évaluation de la situation au Karabakh qui pourrait se terminer par l’arrivée de «la Turquie près de Vienne», accusant par cela Ankara de mener une politique impérialiste.
Dénonçant les propos d’Emmanuel Macron qui avait affirmé que 300 combattants avaient «quitté la Syrie pour rejoindre Bakou», le Président azéri Ilham Aliev a demandé que la France s’excuse pour de telles déclarations et fasse «preuve de responsabilité», selon la chaîne Al Arabiya.
L'Azerbaïdjan a accusé ce 4 octobre les forces arméniennes de bombarder la deuxième ville du pays, celle de Ganja. Le résultat de cette attaque a été relayé sur le Net par le conseiller de la présidence azerbaïdjanaise.
Diffusée par l’Azerbaïdjan, l’information sur les graves blessures reçues par le dirigeant du Haut-Karabakh a été démentie par son porte-parole auprès de Sputnik. «C’est totalement faux», assure Vaghram Pogosian. Selon lui, M.Haroutiounian est «sain et sauf» et «exerce ses fonctions».
Des forces de maintien de la paix russes bientôt envoyées au Haut-Karabakh? Dans une interview à RBC, Dmitri Peskov précise que le Kremlin n’entreprendra cette mesure qu'avec le consentement de l'Azerbaïdjan et de l'Arménie.
Steptanakert, capitale de la république autoproclamée du Haut-Karabakh, a été de nouveau pilonnée par l’armée azérie ce 4 octobre, rapporte la Défense arménienne. Celle-ci est accusée d’avoir tiré par la suite sur plusieurs localités en Azerbaïdjan. Erevan dément.
Alors que la confrontation armée se poursuit depuis le 27 septembre dans le Haut-Karabakh, le Président azéri a déclaré dans une interview à Al Jazeera que son pays n’avait pas renoncé aux négociations, mais qu’il ne trouvait pas de partenaire côté arménien.
Alors que l’Arménie a annoncé la destruction de trois avions de l’Azerbaïdjan, la Défense azerbaïdjanaise publie une vidéo des frappes survenues dans la nuit du 2 au 3 octobre visant l’armée arménienne dans le Haut-Karabakh.
Le 2 octobre, Emmanuel Macron s’est entretenu par téléphone avec son homologue azerbaïdjanais Ilham Aliev et a appelé au rétablissement du régime de cessez-le-feu sur la ligne de contact dans la république autoproclamée du Haut-Karabakh.
Annonce de la destruction de trois avions azéris dans le Haut-Karabakh, informations ensuite démenties par Bakou, publication d'une vidéo par la sécurité nationale arménienne de l'entente présumée de militaires turcs et de mercenaires arabes, entretien d'Ilham Aliev à Al Jazeera: l'escalade qui a éclaté le 27 septembre se poursuit.