Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Dans la nuit du 7 au 8 janvier 2020, le corps des Gardiens de la révolution islamique a mené des frappes visant deux bases abritant des soldats américains en Irak, précisant qu’il vengeait ainsi le général iranien Qassem Soleimani, assassiné début janvier par les États-Unis à Bagdad.
Pour le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, les frappes récentes contre les bases américaines en Irak sont une «gifle» donnée aux États-Unis. L’Iran a été en outre conduit par «la main de Dieu».
Les troupes américaines qui occupaient la base d’Al-Asad en Irak étaient au courant de l’attaque iranienne imminente du 8 janvier, ce qui leur a permis de se réfugier dans un bunker plus de deux heures avant que les missiles ne touchent le site, raconte CNN, dévoilant des photos de leur abri.
Après avoir imposé, ce 10 janvier, de nouvelles sanctions contre l’Iran, les États-Unis ont déclaré que Téhéran aurait été privé de 80% de ses recettes et aurait perdu accès à presque 90% de ses réserves de devises.
De nouvelles sanctions américaines sont venues frapper l'Iran. Washington a imposé des sanctions contre huit hauts responsables iraniens et contre 17 grands producteurs d’acier.
La Chambre des représentants, contrôlée par les démocrates, a adopté jeudi une résolution pour limiter le pouvoir de Donald Trump de lancer des opérations militaires contre l'Iran, un texte largement symbolique mais embarrassant pour le président américain, rapporte l’AFP.
Sur fond de montée des tensions entre Washington et Téhéran, le chef d'État américain a appelé à élargir l’Alliance atlantique via l’adhésion de pays du Moyen-Orient.
Les nouvelles sanctions contre l’Iran sont déjà en vigueur, a déclaré le Président Trump, ajoutant que leur effet peut «très rapidement» prendre fin si Téhéran remplit les exigences de Washington.
Les frappes qui ont visé des cibles américaines sur le territoire irakien ne sont que le début d'une opération d'ampleur régionale, a fait savoir jeudi un commandant du corps des Gardiens de la révolution islamique cité par les médias iraniens.
Le renseignement américain avait intercepté à l’avance des informations sur les frappes contre les bases américaines et en avait prévenu les militaires, selon la chaîne de télévision Fox News.
Les États-Unis pensent avoir «rétabli un certain niveau de dissuasion» vis-à-vis de l'Iran avec l'élimination retentissante du général iranien Qassem Soleimani, a déclaré mercredi le chef du Pentagone Mark Esper.
Le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, a convenu mercredi lors d'un entretien téléphonique avec Donald Trump que les Alliés pourraient «contribuer davantage» au Moyen-Orient, comme le réclame le Président américain.
Les attaques iraniennes contre deux bases irakiennes abritant des forces des États-Unis n’ont pas causé de graves dégâts et n’ont pas fait de victimes, selon le secrétaire américain à la Défense Mark Esper. Sur 16 missiles tirés, 12 auraient atteint leur cible.
La Chambre des représentants américaine, dominée par les démocrates, va se prononcer jeudi sur un texte visant à empêcher Donald Trump de faire la guerre à l'Iran, a annoncé mercredi la chef des démocrates Nancy Pelosi.
Des clichés pris par satellite montrent les dégâts infligés à la base aérienne al-Asad, se trouvant dans l’ouest de l’Irak, qui abrite des militaires américains, relate Bloomberg. D’après les images, au moins cinq endroits sur la base ont été impactés par les tirs de missiles iraniens du 8 janvier.
Ayant promis de venger la mort de Qassem Soleimani, commandant de la force iranienne Al-Qods, tué lors d'une frappe américaine le 3 janvier à Bagdad, l'Iran a attaqué la base aérienne Al-Asad dans l'ouest de l'Irak et une autre installation militaire à Erbil. Deux analystes israéliens commentent la situation pour Sputnik.
La porte-parole de la diplomatie russe a estimé que les attaques iraniennes contre des bases américaines en Irak étaient consécutives des actions de Washington qui contourne dans ces démarches le système juridique international actuel.
Tout en jugeant que la puissance économique américaine était le meilleur moyen de dissuasion, Donald Trump a indiqué que Washington n’utiliserait pas ses armes face à l’Iran mais lui imposerait de nouvelles sanctions économiques pour ainsi répondre aux récentes frappes iraniennes contre deux bases en Irak.
Après que deux bases irakiennes abritant des militaires américains ont été la cible de frappes de missiles du corps des Gardiens de la révolution islamique, le Président Trump s’adresse à la nation.
Les démarches de Téhéran seront proportionnelles au comportement de Washington, a précisé la Défense iranienne dans les heures qui ont suivi les frappes sur deux sites américains en Irak, opération des Gardiens de la révolution islamique baptisée Martyre Soleimani.
Le conflit entre les États-Unis et l’Iran a des répercussions bien au-delà du Moyen-Orient. Récemment, plusieurs dizaines de Canadiens et d’Américains d’origine iranienne ont été détenus de longues heures aux postes frontaliers du nord des États-Unis. De nouveaux cas de profilage? Sputnik fait le point.