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Le conflit du Haut-Karabakh a éclaté en février 1988, lorsque cette région autonome principalement peuplée d'Arméniens a annoncé son intention de se séparer de l'Azerbaïdjan. Les hostilités dans le Haut-Karabakh ont fait environ 15.000 morts et ont contraint près d'un million de personnes à quitter leurs foyers. Le cessez-le-feu signé le 12 mai 1994 à Bichkek (Kirghizstan) a été violé à maintes reprises par les belligérants. L'Arménie et l'Azerbaïdjan ont signalé le 2 avril 2016 la reprise des hostilités dans le Haut-Karabakh.
Le conflit sanglant dans le Haut-Karabakh dure depuis plus de 25 ans. En 2011, malgré l'engagement actif des présidents américain, russe et français dans le processus de paix poussant Erevan et Bakou à signer le document qui pourrait régler la crise, l'Azerbaïdjan a refusé de le signer, raconte à Sputnik le président arménien Serge Sargsian.
Les présidents arménien et azerbaïdjanais, réunis lundi à Vienne par une médiation internationale, se sont engagés à respecter le cessez-le-feu dans la région disputée du Nagorny-Karabakh, récemment agitée de violences, et à reprendre les négociations au point mort depuis des années.
Le Financial Times salue l'efficacité et la rapidité de la Russie dans le règlement de la crise dans le Haut-Karabakh. Le journal britannique souligne que la Russie en a profiter pour renforcer ses positions dans la région.
Une phase intensive des négociations de paix sur le règlement du conflit entre l'Azerbaïdjan et l'Arménie autour du Haut-Karabakh devrait être entamée dans les prochains jours, a déclaré le porte-parole de l'administration du président azerbaïdjanais.
Le député François-Michel Lambert et 30 autres parlementaires français ont fermement condamné la reprise des hostilités survenue début avril dans le Haut-Karabakh. Dans un entretien accordé à Sputnik, M.Lambert commente ce dossier sensible évoqué par le président Poutine lors de sa ligne directe avec la population le 14 avril.
Selon le premier ministre russe, toutes les zones de conflit au monde sont contrôlées par des satellites et d'autres moyens techniques.
Le premier ministre russe Dmitri Medvedev n'exclut pas l'influence extérieure, notamment celle du "facteur turc", sur l'évolution de la situation explosive autour du Haut-Karabakh.
Le service de presse du ministère azerbaïdjanais de la Défense a confirmé les frappes réalisées samedi sur les positions de l'armée arménienne.
Lors des premiers jours du conflit, le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu avec ses collègues arménien et de azerbaïdjanais et a appelé les parties au calme, d'après le premier ministre Dmitri Medvedev.
L’empreinte de Poutine dans le conflit du Haut-Karabakh ? La presse occidentale ne cesse de la chercher. Mais, comme d’habitude, il semble que leurs recherches n’aillent pas dans la bonne direction.
Selon un communiqué, l'armée azerbaïdjanaise a réalisé des tirs avec des armes à feu de différents calibres et des mortiers de 60mm tout le long de la ligne de contact.
Après quatre jours d’actions militaires, l’Arménie et l'Azerbaïdjan ont convenu d'un cessez-le-feu bilatéral le long de la ligne de contact dans le Haut-Karabakh.
Alors qu’un nouveau volet des relations entre l’Azerbaïdjan et le Haut-Karabakh est en train de s’écrire dans le sang et que la situation menace de devenir incontrôlable, un État se distingue des autres affichant clairement son soutien à l’un des belligérants : la Turquie!
Selon le chef de la représentation du Haut-Karabakh à Moscou, la république non reconnue ne fera jamais partie de l'Azerbaïdjan.
L’Arménie et l'Azerbaïdjan ont convenu d'un cessez-le-feu bilatéral le long de la ligne de contact dans le Haut-Karabakh, qui est entré en vigueur à midi heure locale le 5 avril.
Un jour, la région du Haut-Karabakh se retrouvera à coup sûr dans les mains de son vrai propriétaire azerbaïdjanais, a déclaré le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Des combats intenses font rage le long de la ligne de contact dans le Haut-Karabakh, confirment les ministères arménien et azerbaïdjanais de la Défense.
Bakou a avancé ses conditions de cessez-le-feu, notamment la rétrocession des territoires et la restauration de l'intégrité territoriale de l'Azerbaïdjan, a déclaré le chef du service de presse du ministère azerbaïdjanais des Affaires étrangères Khikmet Gadjiev.
Le conflit du Haut-Karabakh, reprenant avec vigueur, risque d'aller au-delà des frontières de l'Azerbaïdjan et de l'Arménie, s'il n'est pas stoppé à temps, estiment des experts de différents pays.
L’armée azerbaïdjanaise a poursuivi dans la nuit de lundi ses pilonnages massifs sur l’avant-garde de l’Armée de Défense du Haut-Karabakh et les villages arméniens situés près de la ligne de front.