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Le 14 juillet 2015, les pays du P5+1 (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu: les États-Unis, la Russie, la Chine, la France et le Royaume-Uni et l'Allemagne), ainsi que l'UE et l'Iran ont signé un accord à Vienne sur le programme nucléaire iranien. Baptisé Plan global d'action conjoint (JCPoA), cet accord-cadre a pour but de contrôler le programme nucléaire iranien et de faire lever les sanctions économiques qui touchaient Téhéran.
Si les Européens et les Américains ne remplissent pas leurs engagements, Téhéran reviendra dans le domaine du nucléaire à la situation d'avant l'accord qui a été conclu en 2015 à Vienne avec l’Allemagne, la Chine, les États-Unis, la Russie, la France et le Royaume-Uni, a prévenu un responsable iranien.
Un an après la sortie des États-Unis de l’accord sur le nucléaire iranien, Téhéran se dit prêt à des négociations si Washington «lève ses sanctions», «met fin à la pression économique» et «revient à l'accord». Le secrétaire d'État américain Mike Pompeo reste sceptique.
Selon le chef de l'Etat américain, "les relations entre l'Iran et les Etats-Unis ne sont pas encore normalisées".
Le président américain Barack Obama a ordonné le début du processus de retrait des sanctions US contre l'Iran conformément aux accords entre la communauté internationale et Téhéran sur le nucléaire iranien, rapporte la Maison Blanche.
De retour de vacances, le congrès américain se replonge dans l'examen de l'accord sur le nucléaire iranien.
Le président israélien Reuven Rivlin regrette que le premier ministre Benjamin Netanyahu ait poussé trop loin sa campagne contre l'accord sur le nucléaire iranien, au risque d'ouvrir un "front" avec les Etats-Unis et d'isoler Israël.
Le président américain Barack Obama devait s'adresser hier au public américain pour expliquer les détails de l'accord nucléaire signé avec l'Iran et ses bénéfices pour Washington.
Des dizaines de généraux israéliens à la retraite ont appelé le premier ministre Benjamin Netanyahu à reconnaître l'accord nucléaire avec l'Iran comme un "fait accompli" et à normaliser les relations avec l'administration américaine.
Suite à l’accord sur le problème nucléaire iranien et la levée des sanctions qui paralysaient le développement de son activité aérienne, l’Iran projette d’acquérir de 80 à 90 avions par an pour rattraper son retard.
Des célébrités américaines, ainsi que de grandes figures du monde diplomatique, expliquent dans une vidéo pourquoi ils défendent cet accord.
Suite à l'accord nucléaire signé avec les puissances occidentales, qui a apporté à Téhéran une reconnaissance internationale, la république islamique s'apprête à s'ouvrir au monde.
Selon le sénateur américain Marco Rubio, les Etats-Unis pourraient dénoncer l'accord sur le nucléaire iranien après le départ de Barack Obama. Une hypothèse contre laquelle s'érige le secrétaire d'Etat John Kerry.
Qualifié "d'historique" par les USA, la Russie et les autres médiateurs du dossier qui y voient une "percée vers la paix", l'accord sur le nucléaire iranien est décrié par les principaux ennemis de Téhéran – Israël et l'Arabie saoudite.
La Russie agit rapidement pour tirer profit des avantages que lui offre l’accord sur le nucléaire iranien, estime David Herszenhorn, observateur au New York Times.
L'accord sur le nucléaire conclu entre l'Iran et les six médiateurs internationaux permettra à Téhéran d'augmenter son aide financière à Damas, estime le premier ministre syrien Wael al-Halki.
Selon une source saoudite officielle, Riyad a toujours soutenu l’adoption d’un accord interdisant à l'Iran de se doter de l'arme nucléaire.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, a fait comprendre aux journalistes que les négociations de Vienne entre l'Iran et le groupe des 5+1 sur le programme nucléaire iranien ne seront pas achevées ce lundi
Un groupe de législateurs américains, dont le chef de l'opposition républicaine au Sénat, Mitch McConnell, est déterminé à bloquer l'approbation du futur accord sur le nucléaire iranien au Congrès.
Selon Téhéran, la levée de l'embargo sur les armes a été l'un des principaux points de désaccord lors des négociations sur le nucléaire à Vienne. Les USA et l'UE ont indiqué qu'ils étaient prêts à renoncer à l'accord.
Un point sera mis aujourd'hui ou demain dans les longues négociations sur le nucléaire iranien.