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Les Royal Marines britanniques ont saisi le 4 juillet 2019 le pétrolier iranien Grace 1 qu'ils soupçonnaient d’acheminer du pétrole en Syrie en violation des sanctions imposées par l'Union européenne depuis 2011. Téhéran dément ces accusations.
La demande émise par la justice américaine de retenir le pétrolier iranien Grace 1, qui avait été arraisonné le 4 juillet, a été rejetée par le gouvernement de Gibraltar.
Le pétrolier iranien Grace 1 quitte Gibraltar un mois après son arraisonnement officiel par les forces britanniques, lesquelles l’avaient accusé d'enfreindre les sanctions imposées par l'UE à la Syrie.
Après que les autorités de Gibraltar ont annoncé le 15 août la levée de l'ordre d'immobilisation du Grace 1, le ministre américain de la Justice a émis un mandat pour saisir ce pétrolier, l'accusant dans un communiqué de venir en aide aux Gardiens de la Révolution islamique.
Selon le chef de l'exécutif de Gibraltar, la date de départ du pétrolier iranien arraisonné au large de Gibraltar début juillet dépend de l’organisation de la logistique, alors que la demande des États-Unis de saisir le navire «pourra être soumise à la Cour suprême».
Le pétrolier iranien Grace 1 arraisonné au large de Gibraltar début juillet a été libéré jeudi 15 août par les autorités locales. La décision de la Cour suprême de Gibraltar survient alors que le ministère américain de la Justice avait fait la demande de saisir le navire.
Alors que la Cour suprême de Gibraltar doit étudier jeudi 15 août le cas du Grace 1, les États-Unis ont demandé aux autorités compétentes de saisir le pétrolier iranien qu'elles retiennent depuis un mois alors qu'elles s'apprêtaient à le laisser partir, a annoncé jeudi le ministère public à Gibraltar.
L'autorité iranienne des ports a indiqué mardi avoir été en contact avec son homologue britannique dans le cadre de ses efforts pour obtenir la libération d'un pétrolier iranien, le Grace 1, arraisonné au large de Gibraltar début juillet.
Dans un entretien téléphonique tenu entre les ministres des Affaires étrangères du Royaume-Uni et de l’Iran à propos de l’arraisonnement d'un pétrolier iranien au large de Gibraltar, Mohammad Javad Zarif a confirmé l’intention de Téhéran d’exporter son pétrole «en toutes circonstances».
Arrêtés les 11 et 12 juillet, quatre membres de l’équipage du pétrolier iranien Grace 1 arraisonné par les autorités de Gibraltar ont été libérés sous caution sans inculpation. Le navire lui-même reste toujours saisi.
Deux membres de l’équipage du pétrolier iranien Grace 1 arraisonné par les autorités de Gibraltar se sont vus interpellés par la police, suivant en cela l’arrestation du capitaine et de son second du 11 juillet.
La police de Gibraltar a annoncé avoir interpellé le capitaine et un officier du pétrolier iranien Grace 1, a annoncé la presse locale. Les deux ont été interrogés, sans qu’aucune décision ne soit encore prise. L’interpellation a été motivée par des violations de sanctions européennes à l'encontre de la Syrie.
Le département des communications du corps des Gardiens de la révolution islamique a démenti les informations selon lesquelles cinq bateaux iraniens ont tenté de saisir un pétrolier britannique dans le Golfe, selon l’agence Fars.
Téhéran «ne tolérera pas la piraterie en mer», a déclaré le ministre iranien de la Défense après que la police de Gibraltar, assistée de Royal Marines, a intercepté le pétrolier iranien Grace 1 au large du territoire britannique.
Téhéran dément l’information des autorités britanniques selon laquelle le pétrolier iranien Grace 1 transportait du pétrole pour la Syrie. Comme l’a indiqué le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, «ce n'était pas le cas».
La Cour suprême de Gibraltar a prolongé la détention du pétrolier iranien saisi le 4 juillet, malgré l'appel de Téhéran à relâcher «immédiatement» ce navire qui est soupçonné de livrer du brut à la Syrie.
Le pétrolier iranien arraisonné au large du territoire britannique de Gibraltar est considéré par Moscou comme une tentative d’aggraver la situation en ce qui concerne l’Iran et la Syrie, selon le ministère russe des Affaires étrangères. Lequel suppose que les réactions immédiates des officiels britanniques et américains confirment ses soupçons.
Une séquence diffusée par la presse montre le moment où la police de Gibraltar, assistée de Royal Marines, a intercepté le pétrolier iranien Grace 1 au large du territoire britannique.
Le secrétaire du Conseil de discernement de l'intérêt supérieur de l'Iran a déclaré le 5 juillet sur Twitter que les autorités iraniennes devaient «agir réciproquement» si Londres ne relâchait pas le pétrolier iranien arraisonné dans le détroit de Gibraltar.
Après avoir convoqué l'ambassadeur britannique à Téhéran en raison de «l'arraisonnement illégal» de son pétrolier dans le détroit de Gibraltar, le ministère iranien des Affaires étrangères a demandé dans un communiqué rendu public la «libération immédiate» du navire.