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Le Pacte mondial sur les migrations des Nations unies a été formellement approuvé le 17 décembre à Marrakech, après la proclamation orale et le traditionnel coup de marteau, devant quelque 150 pays réunis en conférence intergouvernementale.
Malgré de virulentes critiques en France et le retrait d'une dizaine de pays, Macron a approuvé le Pacte de Marrakech de l'Onu sur les migrations.
La décision du Premier ministre belge de signer le Pacte de Marrakech sur les migrations a provoqué la sortie des indépendantistes flamands du gouvernement et des manifestations dans le centre de Bruxelles.
En pleine crise au sein du gouvernement belge à cause d’une controverse sur la question migratoire, plus de 150.000 signatures ont été recueillies dans une pétition en ligne pour dire «non» au pacte mondial des migrations de Marrakech. Cet appel a été lancé par le parti nationaliste Vlaams Belang.
La coalition au pouvoir en Belgique est dans la tourmente après la démission du Premier ministre. Au-delà d’une énième crise gouvernementale dans laquelle tombe le royaume, pour Emmanuel Dupuy, cette démission pourrait «rebattre les cartes» à l’approche des Européennes, portant un coup dur aux plans d’Emmanuel Macron pour les Européennes.
L'Assemblée générale de l'Onu a ratifié mercredi à une très forte majorité le Pacte mondial pour les migrations, destiné à renforcer la coopération internationale pour une «migration sûre, ordonnée et régulière» et qui avait été entériné au Maroc début décembre par 165 membres des Nations unies, informe l’agence France-Presse.
Le pacte de Marrakech a fait couler beaucoup d'encre, surtout depuis sa signature le 10 décembre. L'ancien avocat à l'Onu André Sirois fait partie des critiques qui ont élevé leur voix contre cet accord. André Sirois a travaillé 40 ans aux Nations unies et pense que ce pacte représente un piège. Sputnik a mené une entrevue avec lui.
Le Premier ministre belge Charles Michel a annoncé sa démission à la Chambre des députés ce mardi soir. Le Palais a ensuite fait savoir que le roi Philippe avait mis cette décision en suspens.
La décision du Premier ministre belge de signer le Pacte de Marrakech sur les migrations a provoqué la sortie des indépendantistes flamands du gouvernement et des manifestations dans le centre de Bruxelles. Selon des experts interrogés par Sputnik, Charles Michel a pris ce risque pour conserver l’image de Bruxelles en tant que capitale européenne.
Lors de la manifestation «anti-Marrakech» qui a eu lieu dimanche dans la capitale belge et dégénéré en affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, un groupe d’émeutiers a attaqué des chevaux de la police fédérale montée.
Malgré de virulentes critiques en France et le retrait d’une dizaine de pays, Macron a approuvé le Pacte de Marrakech de l’Onu sur les migrations. Pour comprendre les enjeux de ce document, le Désordre mondial reçoit Pierre Henry, DG de France Terre d’Asile et Emmanuel Dupuy, président de l’IPSE.
Lors de l’adoption du pacte de Marrakech sur les migrations, l’Algérie a fait part de ses réserves concernant certains points du texte final qu’elle juge inappropriés. C’est ce qu’a affirmé le 10 décembre le directeur du département des migrations du ministère algérien de l’Intérieur, rappelant la nécessité de traiter le problème à la source.
Des milliers de personnes ont défilé dimanche dans la capitale belge contre le pacte sur les migrations, alors que les participants à une autre marche «pour» insistent sur le fait que les migrants ne constituent pas un problème.
Après avoir débuté dans le calme, la mobilisation contre le pacte de l’Onu sur les migrations, formellement approuvé lundi à Marrakech, a dégénéré dans l’après-midi à Bruxelles. Des journalistes de médias belges et des témoins rapportent des échauffourées entre manifestants et forces de l’ordre qui ont notamment eu recours au gaz lacrymogène.
Une manifestation contre le pacte de Marrakech sur les migrations, à l'appel d'un collectif d'organisations d'extrême droite, a lieu dimanche à Bruxelles, après l'annulation de son interdiction par le Conseil d'État belge. Une contre-manifestation est attendue.
La Russie estime que les pays qui n’étaient pas impliqués dans l’«ingérence» au Moyen-Orient et en Afrique du Nord ne doivent pas être tenus pour responsables de la crise migratoire, a déclaré l’ambassadeur russe à Rabat après l’adoption du Pacte mondial sur les migrations.
Sans apparemment trouver une autre explication à la fin de la coalition gouvernementale belge, qui a vu sonner son glas sur fond du pacte migratoire de l’Onu, un ex-Premier ministre belge en a attribué la responsabilité au Kremlin, sans oublier d’ «inviter» dans sa bande de coupables Donald Trump, Sebastian Kurz et Viktor Orban…
La secrétaire générale de la Conférence de Marrakech consacrée au pacte mondial sur les migrations de l’Onu a critiqué, sans la nommer, la Suisse pour avoir décliné au dernier moment l’invitation à participer à ce sommet après avoir activement pris part à sa préparation.
Le pacte mondial sur les migrations de l'Onu a été formellement approuvé à Marrakech par 164 États, en dépit du retrait de plusieurs pays concernés, notamment les États-Unis.
Le vice-Premier ministre belge Jan Jambon a mis fin à plusieurs heures de flou autour des démissions des ministres flamands de la coalition «suédoise». Auparavant, le Premier ministre belge s’était rendu auprès du roi afin d’annoncer la recomposition du gouvernement.
Le différend autour du Pacte de l’Onu sur les migrations a entraîné la fin du gouvernement de coalition en Belgique. Le Premier ministre Charles Michel compte continuer son travail dans le cadre d’un gouvernement minoritaire. L’accord serait tout de même prêt à être signé.
La hausse des taxes sur les carburants et la baisse du pouvoir d’achat ne sont pas les seuls motifs des actions des Gilets jaunes en France. A Lyon, des manifestants ont défilé contre le Pacte de Marrakech sur les migrations.
Les États-Unis ont décidé de se retirer du Pacte mondial devant améliorer la gestion internationale de la question des migrants et réfugiés, jugeant ce document «incompatible» avec leur politique migratoire, a annoncé samedi la mission américaine auprès des Nations Unies dans un communiqué.