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Afin de contrer la menace terroriste, le président américain Donald Trump a signé le 20 janvier 2017 un décret intitulé «Sur la protection de la nation contre l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis». Le document interdit l'entrée à tous les réfugiés, quelle que soit leur origine, pendant 120 jours (de façon indéfinie pour les réfugiés syriens), ainsi qu'à tous les ressortissants de sept pays à majorité musulmane et suscitant une préoccupation particulière de Washington, pendant 90 jours : Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen.
L'ensemble des écoles de Toronto ont annulé les voyages de leurs élèves aux États-Unis, en raison du nouveau décret antiterroriste de Donald Trump.
Suite au juge fédéral de l’État d’Hawaï, son collègue du Maryland a mis à son tour un coup d’arrêt au second décret antiterroriste de Donald Trump, qui fait l’objet d’une vaste controverse au sein de la société.
Le département américain de la Justice n’a pas réussi à faire suspendre le décret controversé de Donald Trump sur l’immigration, déjà bloqué par une instance judiciaire.
Une étude d’opinion menée dans 10 pays européens par la fondation britannique Chatham House montre que 55% des Européens ne veulent plus de colons musulmans en Europe et que le mécontentement social de l’immigration en provenance des pays musulmans ne se limite pas à l’électorat de Donald Trump.
Alors que Donald Trump se voit attaquer tous azimuts pour son récent décret sur l’immigration, le gouvernement américain souligne que la mesure relève entièrement de « l'autorité du président » et dénonce l'interprétation « très excessive » du juge fédéral qui en a bloqué l'application.
Les mêmes gens qui faisaient les sondages «bidons» pour l’élection présidentielle américaine font maintenant des sondages de popularité, relève le président des États-Unis Donald Trump.
Une cour d'appel refuse d'annuler le blocage du décret de Donald Trump visant à interdire l'entrée des citoyens de sept pays musulmans aux États-Unis.
Tandis que de nombreux Américains se mobilisent contre le décret de Trump sur l'immigration, l'archevêque irakien Bashar Warda pose crûment la question: que faisaient ces manifestants à l'époque où Daech commettait des massacres contre les chrétiens, pourquoi ne sont-ils pas descendus dans la rue pour condamner de tels actes de violence?
Le décret antiterroriste signé vendredi par Donald Trump, interdisant d'entrée des ressortissants de sept pays musulmans a provoqué des réactions indignées à travers le monde de politiciens, de célébrités et de gens ordinaires. Où étaient-ils quand Obama bombardait ces-même pays? De l’hypocrisie exemplaire, explique Seth Frantzman, à Sputnik.
Le décret sur l’immigration signé par le président US Donald Trump met l’Arabie saoudite, l’un des alliés les plus proches des États-Unis au Proche-Orient, dans une position assez délicate, d’après un expert interrogé par Sputnik.
Œil pour œil, dent pour dent: après l’Irak, c’est au tour de l’Iran de répondre au décret de Trump sur l’immigration et d’appliquer le principe de réciprocité.
Pour protester contre les vives critiques européennes ciblant le récent décret de Donald Trump, interdisant d'entrée aux USA tous les réfugiés, sauf les réfugiés syriens sous conditions, l'acteur américain James Woods s’est permis de poster sur Twitter une photo choquante de la fusillade du Bataclan.
Alors que les protestations se multiplient dans le monde contre le décret de Donald Trump sur l'immigration, le président a limogé une ministre qui s’était opposée à ce document.
Le chef de la diplomatie britannique s'est montré hostile aux invectives visant le dirigeant US sur fond de décret restreignant l'accueil de migrants aux États-Unis.
Le nouveau décret antiterroriste américain interdit pendant trois mois l'entrée aux États-Unis pour les ressortissants de sept pays musulmans, soit l'Irak, l'Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan, la Syrie et le Yémen. Les experts iraniens interrogés par Sputnik estiment que le président Donald Trump a signé ce texte sous la pression.
Deux jours après la signature du décret interdisant l'entrée sur le sol américain de ressortissants de sept pays musulmans, dont l’Irak, Bagdad interdit à son tour aux Américains de passer ses frontières.
Fustigé de toute part, le décret de Donald Trump limitant l’immigration en provenance de certains pays a d’ores et déjà déclenché une levée de boucliers dans le pays et au-delà des Etats-Unis. Qu’en est-il réellement?
Le Kremlin s’est abstenu de commenter le décret sur la «protection de la nation contre l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis» signé récemment par Donald Trump. Un document qui a d’ores et déjà suscité une vague de protestations dans le pays et au-delà.
La décision du président américain Donald Trump de geler le programme d'accueil des migrants risque de faire des émules sur le sol européen. Et si l’UE adoptait un document semblable?
D'éminentes personnalités politiques et des chefs de grandes entreprises US ont exprimé leur solidarité avec les manifestants qui dénoncent le décret sur la «protection de la nation contre l'entrée de terroristes étrangers aux États-Unis» signé récemment par Donald Trump.