Pour améliorer le fonctionnement de notre site, accroître la pertinence des contenus informationnels et optimiser le ciblage publicitaire, nous collectons des informations techniques anonymisées sur vous, notamment à l’aide d’outils de nos partenaires. Le processus de traitement des données personnelles est décrit en détail dans la Politique de confidentialité. Les technologies que nous mettons en œuvre pour ce faire sont décrites en détail dans la Politique d’utilisation des cookies et d’enregistrement automatique.
En cliquant sur "Accepter et fermer", vous acceptez que vos données personnelles soient utilisées dans les buts décrits ci-dessus.
Vous pourrez revenir sur votre choix et retirer votre consentement en utilisant n’importe quel autre moyen indiqué dans la Politique de confidentialité.
Sur fond de crise politique en Ukraine, une augmentation sans précédent de l'activité des forces armées de l'Otan et des Etats-Unis a été constatée près des frontières russes. Moscou perçoit ces démarches de l'Occident comme une tentative pour provoquer une nouvelle guerre froide.
La bureaucratie aux frontières européennes empêcherait le déploiement des troupes de l’Otan dans le cas d’un conflit avec la Russie, estiment des militaires américains. Pour eux, la création d’un Schengen militaire est nécessaire.
En absorbant dans ses rangs de nouveaux membres qui n'ont, du point de vue historique, aucun lien avec l'Otan, l'Alliance cherche à poursuivre sa politique d'élargissement vers l'Est et à augmenter sa présence dans les Balkans et ce non sans tenter d'exercer des pressions sur la Serbie, considère un politologue russe dans son entretien à Sputnik.
Tandis que le ministère monténégrin de la Défense assure que le pays versera annuellement 450 000 euros au budget de l'Alliance atlantique, des membres de l'opposition évoquent le montant de 70 millions d'euros par an.
Johannes Hübner, homme politique autrichien, évoque les moyens d'obtenir la reconnaissance de la Crimée russe dans le monde entier.
Bien des Tchèques estiment que la participation à l’Otan constitue plus une source de menace pour le pays qu’un gage de sécurité, a déclaré à Sputnik la présidente de l'ONG Forum tchèque pour la paix Vladimira Vitova.
Vendredi, l’Allemagne a envoyé ses chars en Lituanie et ce dans le cadre du renforcement de la présence de l’Otan en Europe de l’Est. Et pendant que certains médias pointent l’événement historique, d’autres mettent en garde contre le «retour à la folie de la guerre froide».
Dans le cadre d’une nouvelle phase de l'opération Atlantic Resolve, l’Otan poursuit le déploiement d’unités et d’armements supplémentaires en Pologne et dans les pays baltes.
Le déploiement des troupes US en Pologne pourrait bien provoquer une nouvelle course aux armements entre les États-Unis et la Russie. Une situation qui, selon Sputnik, déplaît à la Défense polonaise.
Le transfert de 4.000 militaires et de 87 chars US vers l’Europe orientale via l’Allemagne et le cliquetis des armes américaines visent à convaincre les Européens et les Allemands de l’existence d’une menace russe, affirme à Sputnik un expert militaire allemand.
Alors que les soldats américains ne cessent d’affluer en Europe de l’Est, certains d’entre eux apprennent déjà à mener la guerre dans des conditions hivernales. Se préparent-ils pour les prochaines compétitions de biathlon ou s’attendent-ils à une nouvelle ère glaciale?
Plus de 4.000 soldats US et 900 wagons de matériel militaire se dirigent vers l’Europe de l’Est pour contrer une «menace russe» fantôme. De leur côté, de nombreux Européens, agacés par ces bruits de bottes, veulent vivre en paix avec la Russie et se révoltent contre cette présence un peu trop voyante de l’oncle Sam.
Plus de 4.000 soldats US et 900 wagons de matériel militaire se dirigent vers l’Europe de l’Est pour contrer une «menace russe» fantôme. De leur côté, de nombreux Européens, agacés par ces bruits de bottes, veulent vivre en paix avec la Russie et se révoltent contre cette présence un peu trop voyante de l’oncle Sam.
Du matériel militaire US est arrivé en Allemagne pour être acheminé dans quelque 900 wagons vers la Pologne et les pays Baltes. Une surprise qui n’a aucunement fait le bonheur des élus allemands.
Des systèmes de missiles de défense côtière russe K-300P Bastion-P auraient été déployés à Kaliningrad, enclave russe au cœur de l’UE. Aucune confirmation officielle n’est disponible dans l’immédiat, mais si ceci s’annonce vrai la démarche constituerait visiblement une réponse au renforcement de la présence de l’Otan près des frontières russes.
La Russie est préoccupée par l’expansion de l’Otan car Washington joue un rôle majeur dans la prise de décision au sein de l’Alliance, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.
La concentration de forces de l’OTAN aux frontières russes est la plus importante depuis la guerre froide. Le Royaume-Uni a annoncé l’envoi au printemps 2017 d’un bataillon de 800 soldats en Estonie, appuyés par des Français et des Danois. Une nouvelle étape dans le bras de fer avec Moscou?
Berlin se montre favorable à brandir les armes sur fond de durcissement des positions de l’Otan à l’égard de Moscou.
Un bataillon britannique équipé d’armes lourdes sera stationné dans la région de la mer Baltique, à proximité des frontières russes.
Sur fond de multiplication des conflits auxquels participent des armées européennes, l’Otan renforce son secteur du renseignement.
Lors du sommet de l’Otan à Varsovie, il a été décidé que l’Italie envoie 140 soldats à la frontière avec la Russie. Or, ce n’est que maintenant que ces informations ont été rendues publiques.