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Alexeï Navalny est rentré le 17 janvier 2021 en Russie d’Allemagne, où il a été soigné pendant cinq mois après son empoisonnement présumé. Dès son arrivée, il a été interpellé à l’aéroport et placé en détention pour 30 jours, soit jusqu'au 15 février. Le service pénitentiaire (FSIN) lui reproche notamment d'avoir violé les conditions d'un contrôle judiciaire.
En 2014, Alexeï Navalny et son frère ont été reconnus coupables d'escroquerie aux dépens de la société française Yves Rocher. Le blogueur a été condamné à trois ans et demi de prison avec sursis. Il devait par ailleurs se faire enregistrer par le FSIN tous les deux mois jusqu'au 29 décembre 2020. Pour avoir violé cette condition six fois, Alexeï Navalny a été mis sur la liste fédérale des personnes recherchées le 29 décembre.
Amnesty International a annoncé qu’elle ne considérait plus le blogueur Alexeï Navalny, condamné à de la prison ferme en Russie, comme un «prisonnier d’opinion».
Les chefs de la diplomatie des 27 se sont accordés sur de nouvelles mesures restrictives à l’encontre de la Russie en lien avec l’affaire Navalny, a appris Reuters de sources diplomatiques au sein de l’UE.
Un tribunal de Moscou a reconnu le blogueur Alexeï Navalny coupable dans le procès pour diffamation à l’encontre d’un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale, le condamnant à une amende, rapporte notre correspondant depuis un tribunal de la capitale russe.
La justice russe a considéré comme une peine purgée le temps pendant lequel Alexeï Navalny s’était trouvé en résidence surveillée et dans un centre de détention provisoire. L’opposant devra donc passer en prison environ deux ans et demi au lieu des trois et demi prévus.
Après que la Cour européenne des droits de l'Homme (CEDH) a exigé que Moscou libère de prison Alexeï Navalny, le ministre russe de la Justice a indiqué que cette déclaration, «une ingérence grossière et flagrante» dans les activités du pays, était «injustifiée et infondée».
Dès sa première conversation téléphonique avec Emmanuel Macron après le prétendu empoisonnement d’Alexeï Navalny, Vladimir Poutine lui a proposé l’aide d’experts russes, qui a été refusée.
Un Franco-Russe a été placé en détention pour «participation à une manifestation non-autorisée» conformément à la décision d’une cour de Moscou, a appris Sputnik du service de presse du tribunal. Le jeune homme compte contester cette décision, selon un journaliste de l’agence présent sur place.
Les mesures de sécurité ont été renforcées ce mardi soir dans le centre de la capitale après que des appels à tenir un rassemblement en soutien à Navalny, non-concilié avec les autorités de la ville, a été lancé. Les premières interpellations ont été constatées.
La Maison-Blanche a annoncé que le Président Joe Biden avait demandé par téléphone à son homologue russe de libérer le blogueur Alexeï Navalny, placé en détention provisoire de 30 jours pour avoir violé les règles d’application de sa peine avec sursis.
Un tribunal russe a jugé que la détention pour une durée de 30 jours de l’opposant Alexeï Navalny était légale. Il restera ainsi incarcéré jusqu’au 15 février, comme décidé initialement. La défense a déclaré qu’elle continuerait à réclamer sa libération.
L’ambassade américaine en Russie a reçu une protestation de Moscou, à propos de la diffusion de fake news sur les réseaux sociaux. Le traitement des récentes manifestations est en cause. Les autorités russes dénoncent également la censure de contenus sur certaines plateformes américaines.
L’appartement d'Alexeï Navalny et ceux de plusieurs de ses alliés ont été perquisitionnés, selon un collaborateur de l’avocat. Plus tôt, un tribunal de Moscou a délivré 29 mandats de perquisition dans le cadre de l’affaire des actions non-autorisées tenues le 23 janvier en soutien à Navalny.
Le sort d’Alexeï Navalny est au cœur des préoccupations de l’exécutif européen et même des grands médias occidentaux, qui ont directement appelé à plus de sanctions à l’égard de la Russie afin de faire libérer l’homme politique. Un phénomène sur lequel revient Jean-Robert Raviot, professeur en études russes et post-soviétiques.
Au lendemain des manifestations non autorisées tenues le 23 janvier en Russie, Jean-Yves Le Drian a qualifié la situation d’«inquiétante». De nombreux Français ont alors rappelé la gestion des Gilets jaunes en France.
Les publications de l’ambassade américaine à Moscou, sur les manifestations non-autorisées ayant eu lieu dans plusieurs villes russes en soutien à Alexeï Navalny, ont été sévèrement condamnées par la diplomatie russe. La porte-parole du ministère les a qualifiées d’«ingérence directe» dans les affaires intérieures du pays.
L’action du 23 janvier à Moscou, non autorisée par les autorités pour des raisons sanitaires, a débouché sur l’arrestation de plus d’un millier de personnes, annonce le défenseur des droits de l’Homme de la ville, constatant que les manifestants étaient dans leur majorité des jeunes de 20 à 30 ans, mais que les mineurs étaient également nombreux.
Si l’ambassade américaine à Moscou devra s’expliquer auprès du ministère russe des Affaires étrangères pour ses commentaires sur les manifestations non autorisées en raison de la situation sanitaire, le Kremlin a fait remarquer que des observations similaires de sa part sur la situation aux USA auraient provoqué «un certain malaise» à Washington.
Répondant à la publication par l'ambassade américaine à Moscou des lieux et horaires des rassemblements non-autorisés en soutien à Alexeï Navalny le 23 janvier, Maria Zakharova a déclaré que «les collègues américains devront s'expliquer sur la place Smolenskaya», et le ministère à son tour leur a conseillé de s'occuper de «leurs propres problèmes».
Ils sont environ 4.000, selon la police de Moscou, à participer ce 23 janvier à la manifestation organisée en soutien à Alexeï Navalny dans la capitale russe. Covid-19 oblige, des agents leur distribuent des masques pour faire face à la propagation de la maladie.
Répondant à des appels diffusés sur Internet, des manifestants se sont réunis à Moscou et dans d’autres villes de Russie pour des actions non autorisées en soutien au blogueur Alexeï Navalny. Elles se sont soldées par des interpellations et plusieurs poursuites pénales pour violences sur personne dépositaire de l'autorité publique ont été ouvertes.