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Donald Trump a annoncé le 10 août une hausse des taxes à l'importation sur l'acier et l'aluminium turcs, désormais respectivement de 50% et 20%, notant que les relations entre les États-Unis et la Turquie, alliés au sein de l'Otan, n'étaient «pas bonnes en ce moment». La Turquie envisage de doubler ses taxes à l'importation sur 22 produits américains pour un montant de 533 milllions de dollars.
Répondant à l’appel de Recep Tayyip Erdogan à boycotter les produits américains, les détaillants annulent massivement les commandes d’iPhone et d’autres articles signés Apple.
Les relations entre Ankara et Washington se sont aggravées après l’introduction par les États-Unis de sanctions contre deux ministres turcs et le doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium en provenance de Turquie.
Washington ne paiera pas un centime à Ankara pour la libération du pasteur américain Andrew Brunson, a affirmé Donald Trump, soulignant que les États-Unis ont l’intention de «réduire les frais» liés à la Turquie.
Au cours d'une conversation téléphonique qu'ils ont eu jeudi, les Présidents Recep Tayyip Erdogan et Emmanuel Macron ont souligné «l'importance de renforcer» leurs liens économiques au moment où Ankara traverse une crise diplomatique avec Washington, a indiqué une source au sein de la présidence turque.
Suite à la Russie, la Turquie a réduit ses investissements dans la dette publique des États-Unis, ce qui l’a fait sortir en juin de la liste des principaux détenteurs de titres du Trésor américain, d’après les données du département du Trésor des États-Unis.
Faisant face à la chute du cours de la livre turque due au conflit commercial avec les États-Unis, des Turcs répondent à l’appel de leur Président à soutenir leur monnaie en brûlant des billets de banque américains.
L’administration Trump n’est pas avare en sanctions: la Russie, l’Iran, la Turquie sont actuellement dans le viseur. Cependant, selon le journal allemand Handelsblatt, de telles mesures n’atteignent souvent pas leur objectif et deviennent même contreproductives sur le long terme.
Les sanctions décrétées par les Etats-Unis contre la Russie et la Turquie, ainsi que les taxes douanières contre l'Union européenne, ont lancé le processus de rapprochement politique dans le triangle Moscou-Ankara-Berlin.
La Turquie entend utiliser les devises nationales dans le commerce avec la Russie et élargir cette pratique à d’autres pays pour résister à la pression du dollar, a annoncé mercredi le porte-parole du Président turc.
Alors que Washington a reporté la livraison à Ankara de chasseurs F-35 déjà payés, la Turquie a l'intention de prendre des mesures juridiques si les États-Unis tentent d'empêcher la livraison en question, a déclaré la présidence turque.
Sur fond des tensions entre Ankara et Washington autour de l’arrestation d’un pasteur américain, de l’achat de S-400 russes et des sanctions imposées contre des ministres turcs, Ankara a reproché aux USA de rompre presque totalement les relations bilatérales.
En guise de riposte aux sanctions américaines, la Turquie relève les droits de douane de 120% sur les véhicules de tourisme, de 140% sur les boissons alcoolisées et de 60% sur le tabac, selon un décret signé par le Président Recep Tayyip Erdogan.
Face aux sanctions américaines, le Président turc a ordonné de relever considérablement les droits de douane sur plusieurs catégories de produits américains, notamment les voitures, l’alcool et le tabac.
Le budget de la Défense américaine pour l'année 2019, adopté lundi, prévoit le report de la fourniture à la Turquie de deux chasseurs F-35 construits dans le cadre du programme commun qui, lui aussi, est suspendu.
Recep Tayyip Erdogan a déclaré mardi que la Turquie renoncerait à l’achat des produits électroniques américains. Il s’agit d’une mesure de riposte au doublement des taxes sur l'aluminium et l'acier en provenance de Turquie.
Les effets de la chute brutale qu’a connue ces derniers jours la livre turque se sont fait sentir jusqu’en Inde et en Nouvelle Zélande. Les banques européennes quant à elles sont en train d’analyser les éventuels dégâts à venir.
La prospérité économique de la Turquie répond aux intérêts allemands, a déclaré Angela Merkel en se prononçant pour l’indépendance de la banque centrale turque. Depuis le 10 août, Ankara fait face à une dégringolade de sa devise nationale.
Sur fond de la crise diplomatique entre Ankara et Washington, intensifiée par la chute brutale de la livre turque, Recep Tayyip Erdogan a déclaré que les États-Unis, étant membre de l’Otan, cherchaient à frapper leur partenaire stratégique dans le dos.
Le cours de l’or a chuté ce lundi suite à la dégringolade de la devise turque, selon Reuters. Le gouvernement turc a annoncé lundi un plan d’actions afin de stabiliser la situation économique.
Les efforts des États-Unis pour soumettre le peuple turc à l'aide de mesures économiques telles que des taxes douanières doublées sur l'acier et l'aluminium en provenance de Turquie seront vains, a déclaré Recep Tayyip Erdogan.