Depuis la mi-mars 2011, la Syrie est secouée par un mouvement de contestation du régime de Bachar Assad. Selon l'Onu, la confrontation armée aurait déjà fait plus de 9.000 morts. Damas indique que plus de 2.500 policiers et soldats syriens, ainsi que plus de 3.200 civils ont été tués dans les affrontements contre des bandits financés de l'étranger.
Les rebelles syriens soutenus par la Turquie ont chassé Daech de Jarablos. De son côté, l'opposition syrienne kurde accuse Ankara de vouloir utiliser l'opération à Alep comme un atout politique.
Longtemps intransigeante sur la nécessité absolue du départ immédiat du président syrien Bachar el-Assad, la Turquie semble disposée à changer d'attitude à son égard.
Le gouvernement syrien se dit prêt à un troisième round des pourparlers sur un règlement pacifique de la crise en Syrie sans conditions préalables, a déclaré le ministère syrien des Affaires étrangères.
Selon la Maison blanche, les Etats-Unis entendent étudier les changements au sein du gouvernement syrien pour décider s'il faut lever ou modifier les sanctions contre Damas.
Les négociations sur la Syrie à Genève portent pour l'instant sur la création d'un gouvernement de transition efficace qui réunirait des représentants de l'opposition et des partisans d'Assad.
Le pilonnage d'Alep par des extrémistes s'est intensifié au cours de ces dernières semaines, mais malgré les risques les habitants de cette ville syrienne se rendent ce mercredi aux urnes. Ils espèrent que ce scrutin législatif les rapprochera de la paix tant espérée.
Environ 11.500 personnes envisageaient initialement de prendre part aux élections législatives. Au jour du scrutin, il reste 3.500 candidats en compétition pour 250 sièges au parlement du pays, rapporte la Commission syrienne de la campagne électorale.
En Syrie, plus de 7.000 bureaux de vote ouvriront leurs portes le 13 avril dans le cadre des élections législatives.
Le prochain round des négociations entre le gouvernement et l'opposition syrienne, sous l'égide de l'Onu, débutera à Genève ce 11 avril. Ce round sera-t-il plus fructueux que le précédent tenu le mois dernier? Est-ce que les Kurdes syriens participeront aux prochains pourparlers?
Dans une interview exclusive accordée à Sputnik, le président syrien Bachar al-Assad évoque sa vision du processus de paix en Syrie, la coopération russo-syrienne et son appréciation du rôle de la Russie dans la lutte contre le terrorisme.
Dans un entretien au directeur général de l'agence Sputnik, Assad a évoqué les négociations de Genève, les victoires au sol et l'aspiration de Damas à un règlement rapide.
La conseillère du président syrien, Boussaïna Chaaban, a commenté la libération de Palmyre et a soutenu l'idée de Vladimir Poutine de créer une coalition internationale afin de venir à bout du terrorisme.
Lors d'une conversation téléphonique, le président russe a pointé l'importance de la cité antique pour le patrimoine mondial.
Au cours d'une rencontre avec une délégation de parlementaires français, le président syrien a souligné que comparé aux efforts déployés par la Russie et les Etats-Unis, l'UE n'avait simplement pas de politique étrangère au Proche-Orient.
Il s'agit d'un groupe d'opposants qui vivent et travaillent en Syrie sans faire partie de la structure politique au pouvoir. Ils pourraient être admis aux négociations de paix.
Selon le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, si les Kurdes ne sont pas autorisés à participer aux négociations syriennes, ils peuvent créer leur propre Etat.
D'après la conseillère du président syrien, Boussaïna Chaaban, la Russie aide la Syrie à lutter contre le terrorisme et à rétablir la paix et la sécurité dans le pays.
Le gouvernement syrien va participer aux négociations de paix prévues selon Damas le 14 mars, l'opposition n'ayant pas encore tranché sur sa présence à ces pourparlers indirects organisés à Genève sous l'égide de l'Onu alors que la trêve semble tenir.
Seule une nouvelle constitution peut défendre tous les droits du peuple syrien. C'est donc par sa rédaction qu'il faut entamer les réformes dans le pays, considère Ilhan Mansad, secrétaire générale du parti Conférence nationale.
Le comportement de la Turquie dans le conflit syrien lui a fait perdre les avantages dont elle disposait sur la scène internationale. Le cessez-le-feu, qui est entré samedi en vigueur, a compromis les plans d'Ankara visant à étendre son influence sur les pays voisins.
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