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La "journée de colère", manifestation antigouvernementale la plus importante de ces dernières années en Egypte, a commencé mardi 25 janvier. Réclamant de meilleures conditions de vie dans le pays, les manifestants veulent la fin du régime du président Hosni Moubarak, au pouvoir depuis près de 30 ans.
La démission survient suite à l'arrestation du ministre de l'Agriculture Salah Helal, accusé de corruption.
Le président d'Egypte par intérim Adli Mansour a chargé le ministre sortant du Logement Ibrahim Mahlab de former une nouvelle équipe gouvernementale au lendemain de la démission du cabinet d'Hazem El-Beblaoui, rapportent les médias égyptiens.
Le gouvernement égyptien a annoncé qu'il démissionnait, rapporte lundi l'agence Reuters se référant à une chaîne de télévision locale.
Plus de 60% des Egyptiens ont voté en faveur de la nouvelle constitution du pays, a annoncé mardi soir le président de la Commission électorale supérieure Samir Aboul Maati.
Le Front égyptien du salut national (FSN; opposition) promet de contester les résultats du référendum constitutionnel en raison des irrégularités et des fraudes électorales, rapportent dimanche les agences européennes.
Le vice-président égyptien Mahmoud Mekki a annoncé samedi sa démission, tandis que les Egyptiens votaient sur un projet de constitution controversé, rapportent les médias locaux se référant au service de presse présidentiel.
Plus de 60% des Egyptiens ont voté en faveur de la nouvelle constitution du pays basée sur les principes de la charia, rapportent dimanche les médias locaux citant les résultats préliminaires du scrutin.
Le Front du salut national, principal noyau de l'opposition laïque au président égyptien Mohammed Morsi, acceptera n'importe quel résultat du référendum sur le projet de nouvelle Constitution et participera aux futures législatives, a déclaré Hamdeen Sabahi, de la direction du mouvement.
La police de la ville égyptienne d'Alexandrie (nord) a tiré des gaz lacrymogènes et employé du matériel lourd pour disperser les manifestants islamistes et ceux d'une opposition laïque, rapporte le correspondant de RIA Novosti sur place.
Le référendum sur la nouvelle Constitution du pays a commencé samedi matin en Egypte, ont annoncé les médias internationaux, précisant qu'il se déroulerait en deux étapes, le 15 et le 22 décembre.
Le Front du salut national, une importante formation de l'opposition égyptienne, a annoncé son intention de participer au prochain référendum sur un nouveau projet de Constitution prévu le 15 décembre et a appelé ses partisans à voter contre.
Les libéraux égyptiens ont rejeté la nouvelle Déclaration constitutionnelle adoptée samedi par le président Mohamed Morsi, appelant l'ensemble des mouvements laïcs du pays à manifester contre la tenue d'un référendum sur la Constitution, rapporte lundi le correspondant de RIA Novosti au Caire.
Vingt-huit bureaux du mouvement islamique Frères musulmans ont été incendiés en Egypte ces derniers jours durant les affrontements entre les partisans des partis libéraux et les organisations islamistes, a annoncé au Caire le leader des Frères musulmans Mohamed Badia.
Le président égyptien Mohamed Morsi pourrait reporter le référendum constitutionnel prévu pour le 15 décembre, si l'opposition remplit plusieurs conditions, ont rapporté vendredi soir les médias égyptiens se référant à une déclaration du vice-président Mahmoud Mekki.
Le refus de prendre en compte les revendications de l'opposition, en particulier l'annulation de la déclaration constitutionnelle et le report du référendum sur la constitution, a "fermé la porte au dialogue" entre le président Mohamed Morsi et ses adversaires, a déclaré vendredi le coordinateur du Front égyptien de salut national Mohamed El Baradei.
Le Front du salut national, qui réunit les partis et mouvements libéraux et démocratiques d'Egypte, a rejeté vendredi la proposition du président Mohamed Morsi d'entamer un dialogue.
Ces jours-ci l'Egypte vit un terrible déjà-vu – un printemps arabe à l'envers. Dans la nuit de jeudi à vendredi, des chars ont à nouveau été envoyés dans la capitale, destinés cette fois à faire cesser les affrontements.
Une marche de l'opposition sur le palais présidentiel au Caire a été provoquée par les affrontements entre partisans et détracteurs de la Déclaration constitutionnelle adoptée par le président Morsi.
Le président égyptien Mohamed Morsi, confronté à une crise politique majeure, a appelé l'opposition à engager un dialogue national, rapporte vendredi le correspondant de RIA Novosti au Caire.
Des milliers de représentants des Frères musulmans et d'opposants au chef de l'Etat égyptien Mohamed Morsi se sont affrontés devant le palais présidentiel au Caire, faisant des blessés, rapporte le correspondant de RIA Novosti sur place.