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Dans la nuit du 6 au 7 avril 2017, les États-Unis ont tiré 59 missiles Tomahawk sur la base aérienne de Shayrat en Syrie qui, selon Washington, serait «associée au programme» d'armes chimiques de Damas et «directement liée» à l'attaque à l'arme chimique survenue le 4 avril. Les missiles ont été tirés depuis des destroyers de l'U.S. Navy dans l'est de la Méditerranée, touchant plusieurs cibles sur la base de Shayrat.
Dans une interview à la chaîne CBS, Donald Trump a avoué que la décision de tirer des missiles sur le sol syrien n'avait pas été facile à prendre, le risque de frapper les innocents étant présent.
Selon le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov la Russie n’a encore reçu aucune preuve de la culpabilité de Damas dans l’attaque chimique du 4 avril à Khan Cheikhoun, en Syrie. La France, de son côté, a procédé à sa propre enquête et a révélé la responsabilité absolue du gouvernement syrien.
Assad doit-il partir et quelle est la stratégie des États-Unis en Syrie? L'administration US semble ne pas avoir de position unie sur les objectifs américains en Syrie, considèrent deux congressistes démocrates et demandent dans une lettre à Donald Trump de clarifier la position officielle de la Maison-Blanche.
L’armée syrienne aurait changé l’emplacement de ses Forces aériennes suite à la frappe américaine contre une base syrienne, estime le secrétaire à la Défense des États-Unis, James Mattis.
Le chef de l’État nord-coréen a réitéré son soutien au Président syrien Bachar el-Assad dans son conflit avec les États-Unis et a fermement condamné la récente frappe de missiles américaine contre une base syrienne.
D’après une conseillère du Président syrien, en accusant le gouvernement de la Syrie de l’attaque chimique à Idlib, les États-Unis cherchent à trouver un prétexte pour justifier leur frappe de missiles ce qui ressemble, selon elle, à l’invasion en Irak de 2003.
Pour l'ex-diplomate US Brady Kiesling, il est peu probable que le scénario de l'invasion en Irak se reproduise en Syrie.
Selon le Kremlin, il sera possible de reprendre le mémorandum russo-américain sur la prévention des incidents aériens en Syrie si Washington s'abstient de «démarches imprévisibles».
«Nous venons de tirer 59 missiles en direction de l’Irak», a déclaré Donald Trump. Le souvenir du bombardement américain meurtrier en Syrie a-t-il été éclipsé par une délicieuse part de gâteau?
La région d’Idlib est au cœur de la guerre en Syrie. Les États-Unis, la Turquie, l’opposition syrienne et les groupes radicaux y cherchent à atteindre leurs objectifs qui ne sont pas toujours compatibles, selon un expert turc interrogé par Sputnik.
Commentant la frappe américaine contre la base syrienne de Shayrat, le président russe a fustigé les alliés des États-Unis à l’Otan pour leur refus d’analyser la situation.
Lors d’une rencontre avec la présidente du parlement syrien Hadia Abbas à Moscou, la porte-parole du Conseil de la Fédération Valentina Matvienko a déclaré que la Russie envisageait d’approfondir la coopération avec la Syrie et de lui accorder son soutien dans la lutte antiterroriste.
Après la frappe américaine contre la base aérienne de Shayrat, les terroristes ont profité de la situation pour attaquer l’armée syrienne. Ces attaques sont repoussées par les forces gouvernementales, apprend-on de la déclaration de l’État-major russe.
En frappant la base militaire syrienne, Washington voulait manifester sa présence dans la région et son rôle dans la définition de l’avenir de la Syrie, a estimé dans un entretien avec Sputnik Ozturk Yilmaz, vice-président du Parti républicain du peuple (CHP), principale force d'opposition en Turquie.
Eric Trump, le fils du Président américain a confirmé l’information par rapport à «une influence significative» de sa sœur, Ivanka, quant à la question syrienne.
Dans un communiqué diffusé à l’occasion de la visite du secrétaire d’État américain Rex Tillerson, la diplomatie russe fustige la frappe américaine contre la base syrienne de Shayrat et s’interroge sur la volonté de Washington de coopérer avec Moscou dans la lutte antiterroriste.
La Russie n'a pas l'intention d'utiliser ses Forces aérospatiales contre les missiles US dans le cas où Washington entreprendrait de nouvelles attaques contre la Syrie, puisque cela pourrait déclencher une guerre «à une grande échelle», estime le premier directeur adjoint du Comité international du Conseil de la Fédération de Russie.
Après les multiples frappes aériennes effectuées par les États-Unis, la restauration de la base aérienne syrienne de Shayrat rapproche à grands pas, a annoncé l’officier de l’armée syrienne à Sputnik.
Les États-Unis n’excluent pas la possibilité de nouvelles frappes contre la Syrie en cas de répétition des attaques chimiques, a-t-on déclaré à la Maison-Blanche.
La frappe des États-Unis contre une base aérienne en Syrie rappelle bien l’opération «punitive» des Américains en Afghanistan en 2001, suite à laquelle Washington s’est enlisé dans le «bourbier afghan», ont relevé les experts et les politiciens afghans interviewés par Sputnik.