Les pays qui soutiennent Assad sont "du mauvais côté" de l'histoire (Washington)

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Les Etats soutenant le régime du président syrien Bachar el-Assad se trouvent "du mauvais côté de l'histoire", a déclaré mercredi à Washington le porte-parole de l'administration américaine Jay Carney.

Les Etats soutenant le régime du président syrien Bachar el-Assad se trouvent "du mauvais côté de l'histoire", a déclaré mercredi à Washington le porte-parole de l'administration américaine Jay Carney.

"Tout pays qui apporte son soutien au régime d'el-Assad se place du mauvais côté de l'histoire", a indiqué M.Carney.

En octobre 2011 et en février 2012, la Russie et la Chine ont opposé leur veto aux résolutions du Conseil de sécurité de l'Onu condamnant la répression sanglante des manifestations antigouvernementales en Syrie.

"Nous avons clairement laissé entendre que nous étions déçus par le veto opposé par Moscou et Pékin à la résolution exhortant el-Assad à cesser les hostilités contre ses citoyens (…). Nous continuons nos consultations avec la Russie et d'autres pays sur la nécessité d'exercer plus de pression sur le régime syrien", a poursuivi le porte-parole de la Maison Blanche.

Toujours selon lui, les "crimes commis par Bachar el-Assad et ses affidés resteront dans l'histoire".

La tension est récemment montée d'un cran autour de la Syrie suite à l'attaque contre la localité de Houla qui a fait plus d'une centaine de morts, dont des femmes et des enfants. La plupart des victimes ont été abattues par des balles tirées à courte distance, les autres étant tuées par des obus d'artillerie. Le 27 mai, le Conseil de sécurité de l'Onu a violemment dénoncé ce massacre. Les autorités syriennes nient avoir été derrière la tuerie de Houla et rejettent toute la responsabilité sur les combattants islamistes.

Lundi 28 mai, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré que Moscou cherchait à mettre fin aux violences en Syrie et non à préserver le régime en place.

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