Une telle quantité de grains suffirait pour subvenir complètement aux besoins des consommateurs industriels, en exporter 15 à 20 millions de tonnes par an et constituer une réserve stable pour maintenir une situation sereine sur le marché du blé, a-t-il dit.
Il est évident que le ministère de l'Agriculture et d'autres structures exécutives doivent se fixer cette tâche. "A partir de là, nous aurons compris ce qu'il faudra faire pour résoudre les problèmes relatifs au rétablissement de notre potentiel, à l'emploi de technologies nouvelles et à l'augmentation de l'emploi d'engrais", a dit le ministre. "Il nous faut nous atteler au développement de l'infrastructure des marchés intérieur et extérieur. Il nous faut aussi résoudre le problème de la production de grains de qualité", a souligné Alexéi Gordeïev.
Le ministre a informé que depuis ces trois dernières années le bénéfice net dans le secteur agricole provenait essentiellement (au niveau de 75%) de la production de céréales.