Le règlement de la crise au Proche-Orient est entre les mains des parties adverses (Barroso)

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Le règlement de la crise au Proche-Orient est entre les mains des parties adverses, a déclaré le président de la Commission européenne (CE), José Manuel Barroso, lors d'une conférence de presse jeudi à Pori à l'issue d'un entretien avec le premier ministre finlandais, Matti Vanhanen.
HELSINKI, 20 juillet - RIA Novosti. Le règlement de la crise au Proche-Orient est entre les mains des parties adverses, a déclaré le président de la Commission européenne (CE), José Manuel Barroso, lors d'une conférence de presse jeudi à Pori à l'issue d'un entretien avec le premier ministre finlandais, Matti Vanhanen.

Matti Vanhanen et José Manuel Barroso ont souligné que l'Union européenne (UE) était profondément préoccupée par la situation au Proche-Orient. La communauté internationale est prête à faire tout son possible pour régler le conflit, mais la paix ne peut pas être imposée de l'extérieur, a fait remarquer le président de la Commission européenne, tout en ajoutant que les parties adverses elles-mêmes doivent se montrer prêtes à coopérer.

"Pour le moment, tel n'est pas le cas", a déploré José Manuel Barroso.

Le premier ministre de la Finlande, pays assumant à présent la présidence tournante à l'Union européenne, et le président de la Commission européenne ont insisté sur la nécessité d'un cessez-le-feu entre les parties au conflit, tout en exprimant leur total appui aux efforts déployés dans ce sens par l'Organisation des Nations Unies.

Comme l'a tenu à rappeler José Manuel Barroso, une force de maintien de la paix ne pourra être envoyée dans la région que sur décision du Conseil de sécurité de l'ONU. Quoi qu'il en soit, a-t-il supposé, si une telle décision est adoptée, il n'y aura aucun problème avec l'envoi d'un contingent de paix au Proche-Orient.

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