"Les pourparlers se déroulent à huit clos. Ils sont confidentiels, et les participants en dissimulent les résultats pour ne pas engendrer d'émotions et d'espoirs inutiles. Et pourtant, selon les négociateurs, la situation n'est pas désespérée", a souligné M. Istratov.
Il a ajouté que cette situation était "un peu spécifique en raison des élections à l'Assemblée nationale d'Arménie" prévues pour le 12 mai.
"Tout dépend des parties au conflit", a affirmé M. Istratov.
"Personne n'a la possibilité, ni le droit de les contraindre à opter pour telle ou telle solution. Car une paix signée sous la contrainte n'est jamais durable. Les parties doivent trouver elles-mêmes une solution qui leur conviendrait", a indiqué en conclusion le diplomate russe.