La visite du chef de l'Etat russe à Astana est prévue pour le début de la deuxième décade de mai.
Ce sera le premier accord portant sur la fondation de ce centre.
Ensuite, d'autres pays pourront participer au travail du centre international en vertu des accords intergouvernementaux.
Le centre international d'enrichissement de l'uranium sera organisé à Angarsk (région d'Irkoutsk) sur la base du combinat d'électrolyse chimique d'Angarsk qui avait jadis le statut d'entreprise "fermée".
Le vice-premier ministre russe Sergueï Ivanov avait déclaré que la création du centre international d'enrichissement de l'uranium d'Angarsk serait le premier pas sur la voie de réalisation de l'initiative du président russe de création d'une infrastructure globale de centres internationaux d'enrichissement de l'uranium, ce qui permettrait à tous les pays désireux de développer le nucléaire civil d'avoir accès à ce service technologique.
La Russie mène des pourparlers avec le Kazakhstan et d'autres Etats sur la création du centre international d'enrichissement d'uranium d'Angarsk.
Fin mars, le vice-directeur de Rosatom (Agence fédérale russe de l'énergie atomique) Nikolaï Spasski avait déclaré que le premier accord sur la participation à l'activité du centre international d'enrichissement de l'uranium d'Angarsk - entre la Russie et le Kazakhstan - pourrait être signé prochainement.