"La création d'un grand groupe verticalement intégré comme Rosatom simplifiera les rapports avec nos partenaires intéressés à coopérer. Mais, en créant un tel groupe nous ne cherchons pas à monopoliser le marché. Dans l'ensemble, les réformes en cours dans la branche permettront à la Russie de rester parmi les leaders mondiaux et de faire avec succès concurrence à d'autres pays", a expliqué le sénateur.
Ces réformes attirent l'attention non seulement des partenaires traditionnels de la Russie mais aussi de l'Occident, selon le parlementaire.
Tous les pays du monde ne trouvent pas avantageux, loin de là, de développer leur propre cycle du combustible nucléaire, dont l'enrichissement de l'uranium. Maintenant, ce service pourrait être accordé par le Centre d'enrichissement d'uranium sur la base du Combinat chimique d'électrolyse à Angarsk, en Sibérie orientale. "Plusieurs pays ont déjà annoncé leur intention de participer à l'activité de ce Centre, dont l'Ukraine, l'Arménie et l'Australie", a conclu le sénateur.