Après la discussion au Luxembourg et à Genève, puis à Bruxelles le 15 octobre, de l’accomplissement par la Russie de ses engagements sur le retrait des troupes du territoire géorgien, les ministres de certains pays importants de l’UE se sont prononcés en faveur de l’ouverture des négociations avec Moscou sur le nouvel accord de partenariat stratégique. Notre observateur Anatoly Potapov : le détail.
Pendant la rencontre des ministres européens, le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a annoncé que la Russie avait entièrement tenu ses engagements sur le retraite des troupes du territoire géorgien ; Après sa confirmation, les ministres de l’Allemagne, de l’Espagne, l’Italie se sont prononcés pour la reprise des négociations avec Moscou sur le nouvel accord de partenariat stratégique. Le ministre italien des AE Franco Frattini a déclaré que l’accomplissement des engagements par la Russie était tout à fait constructif et qu’il fallait lancer sans tarder les négociations. Le président français trouve qu’il convient d’oublier les désaccords dans l’intérêt de la sécurité russe et européenne.
Tous ces propos montrent que l’UE aspire à la recherche des nouvelles opportunités pour résoudre les problèmes survenus dans les relations avec Moscou pour le bien de la sécurité et la coopération économique sur le continent. Le président de la commission exécutive de l’UE José Manuel Barroso a déclaré que les négociations sur le nouvel accord avec la Russie, ce n’était pas un cadeau offert par l’Occident. C’est l’unique voie de répondre aux intérêts européens, a-t-il dit.
Pendant la rencontre des ministres européens, le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner a annoncé que la Russie avait entièrement tenu ses engagements sur le retraite des troupes du territoire géorgien ; Après sa confirmation, les ministres de l’Allemagne, de l’Espagne, l’Italie se sont prononcés pour la reprise des négociations avec Moscou sur le nouvel accord de partenariat stratégique. Le ministre italien des AE Franco Frattini a déclaré que l’accomplissement des engagements par la Russie était tout à fait constructif et qu’il fallait lancer sans tarder les négociations. Le président français trouve qu’il convient d’oublier les désaccords dans l’intérêt de la sécurité russe et européenne.
Tous ces propos montrent que l’UE aspire à la recherche des nouvelles opportunités pour résoudre les problèmes survenus dans les relations avec Moscou pour le bien de la sécurité et la coopération économique sur le continent. Le président de la commission exécutive de l’UE José Manuel Barroso a déclaré que les négociations sur le nouvel accord avec la Russie, ce n’était pas un cadeau offert par l’Occident. C’est l’unique voie de répondre aux intérêts européens, a-t-il dit.
Voilà ce que pense à ce sujet l’expert sur la sécurité européenne Dmitri Danilov.
Il existe des pays qui insistent sérieusement sur le fait que l’avenir de l’Europe dépend des relations avec la Russie, l’avenir de l’union. La Russie et l’UE vont s’appesantir sur les problèmes économiques, forcément, à la première étape. Cela est dans la compétence de l’union européenne et non de ses membres à part. Voilà pourquoi on peut compter sur un progrès rapide au début des négociations. Il y a des raisons d’être optimistes, croit l’expert. Les négociations seront pragmatiques et fructueuses.
La question sur la reprise des négociations avec la Russie sur le nouvel accord sera décidée le 14 novembre à Nice pendant le sommet Russie-UE.
Il existe des pays qui insistent sérieusement sur le fait que l’avenir de l’Europe dépend des relations avec la Russie, l’avenir de l’union. La Russie et l’UE vont s’appesantir sur les problèmes économiques, forcément, à la première étape. Cela est dans la compétence de l’union européenne et non de ses membres à part. Voilà pourquoi on peut compter sur un progrès rapide au début des négociations. Il y a des raisons d’être optimistes, croit l’expert. Les négociations seront pragmatiques et fructueuses.
La question sur la reprise des négociations avec la Russie sur le nouvel accord sera décidée le 14 novembre à Nice pendant le sommet Russie-UE.
