La Russie et les Emirats Arabes Unis (EAU) entendent diversifier leur coopération et interagir dans la sphère de l’Espace et des technologies de pointe. Il en a été question à la rencontre à Moscou entre le Premier ministre de Russie Vladimir Poutine et l’émir de Dubaï Mohammed Al Maktoum, assumant la vice-présidence des Emirats Arabes Unis. La veille l’invité de marque a eu un entretien circonstancié avec le président russe Dimitri Medvedev. Le chef du gouvernement russe a relevé que les deux pays avaient un bon potentiel pour étendre les sphères de leur coopération.
Le volume des échanges économiques et commerciaux grandit, mais pour le moment dans les chiffres absolus il est assez modeste. Nous envisageons d’intéressantes directions d’une possible coopération, et pas seulement dans le domaine de l’énergie et du tourisme, mais aussi en matière de hautes technologies, dont l’Espace, le nucléaire civil et, bien sûr, l’investissement. Nous avons à ce jour suffisamment d’entreprises communes, mais toutes elles fonctionnent principalement sur le marché de votre pays, dans le tourisme et les services. Nous devons réfléchir à la diversification de notre interaction.
En avril dernier le chiffre d’affaire entre nos pays atteignait à peine 1 milliard de $. Dans cette optique, les propositions du Premier ministre russe acquièrent toute leur actualité. Surtout que le gouvernement des EAU réalise déjà la coordination des recherches dans le cadre du Conseil des pays du Golfe. Les EAU fixent, en particulier l’objectif de devenir leaders pour ce qui concerne le dessalage de l’eau de la mer, le dessalement des terrains, de l’exploitation de l’énergie solaire et de conditionnement de l’air. La réalisation de ces plans et d’autres encore permettra aux EAU de se ranger dans le nouveau millénaire parmi des puissances industrialisées. Or le projet vieux de deux ans de créer un Centre de coopération en matière de recherche et d’innovation de la Russie et des pays du Golfe, avec le siège aux EAU, n’a pas été encore mis en œuvre. Il a été conçu en vue d’appliquer des technologies de pointe russes destinées à résoudre les problèmes écologiques dans la région du Golfe.
Le volume des échanges économiques et commerciaux grandit, mais pour le moment dans les chiffres absolus il est assez modeste. Nous envisageons d’intéressantes directions d’une possible coopération, et pas seulement dans le domaine de l’énergie et du tourisme, mais aussi en matière de hautes technologies, dont l’Espace, le nucléaire civil et, bien sûr, l’investissement. Nous avons à ce jour suffisamment d’entreprises communes, mais toutes elles fonctionnent principalement sur le marché de votre pays, dans le tourisme et les services. Nous devons réfléchir à la diversification de notre interaction.
En avril dernier le chiffre d’affaire entre nos pays atteignait à peine 1 milliard de $. Dans cette optique, les propositions du Premier ministre russe acquièrent toute leur actualité. Surtout que le gouvernement des EAU réalise déjà la coordination des recherches dans le cadre du Conseil des pays du Golfe. Les EAU fixent, en particulier l’objectif de devenir leaders pour ce qui concerne le dessalage de l’eau de la mer, le dessalement des terrains, de l’exploitation de l’énergie solaire et de conditionnement de l’air. La réalisation de ces plans et d’autres encore permettra aux EAU de se ranger dans le nouveau millénaire parmi des puissances industrialisées. Or le projet vieux de deux ans de créer un Centre de coopération en matière de recherche et d’innovation de la Russie et des pays du Golfe, avec le siège aux EAU, n’a pas été encore mis en œuvre. Il a été conçu en vue d’appliquer des technologies de pointe russes destinées à résoudre les problèmes écologiques dans la région du Golfe.
Le vice-président Mohammed Al Maktoum a à son tour invité le Premier ministre russe Vladimir Poutine à effectuer une visite dans les EAU. « Nos rapports ont un caractère historique, et ce sont de bons rapports », a dit l’émir de Dubaï. Il a mis en relief qu’il considérait son voyage à Moscou comme stratégique à tous les égards. Cela concerne aussi les positions proches des deux pays quant à la lutte anti-terroriste et au règlement des conflits régionaux.
