Une conférence de presse s’est déroulée le 4 mai à l’agence INTERFAX à Moscou sur le thème de signature d’un accord à l’amiable entre la Russe Irina Belenkaya et son époux français Jean-Michel André. Notre correspondant Igor Yazon revient de ce point de presse.
Le conflit à propos d’Elise André de 3 ans, que les parents se déchirent, attire toujours une attention soutenue en Russie, comme en France. L’un des derniers rounds des pourparlers a été tenu par les avocats d’Irina Belenkaya et de Jean-Michel André, respectivement Anatoli Koutcherena, membre de la Chambre civique de Russie et les avocats français Victor Gioia et Grigori Rincourg, arrivé le 3 mai à Moscou. En ouvrant la conférence de presse, le médiateur russe M. Koutcherena a informé des entretiens que ses collègues français avaient eus à Moscou avec les responsables de plusieurs départements juridiques russes et toutes récentes ententes concernant l’affaire d’Elise André.
Nous avons en principe préparé ce lundi plusieurs projets, dont celui d’un accord à l’amiable, qui aurait permis aux avocats Grigori Rincourg et Victor Gioia, respectivement d’Irina Belenkaya et de Jean-Michel André, de signer ces documents, a dit Anatoli Koutcherena. Et comme Irina Belenkaya est maintenant incarcérée, nous connaissons certaines difficultés à concerter les questions qui peuvent surgir chez Irina et Jean-Michel au sujet du projet d’accord à l’amiable, préparé par nous. Pour cette raison nous avons convenus que le matin du 6 mai je me rendrai à Budapest pour concerter avec Irina les points de l’accord, proposés conjointement par les avocats français et russes. Les mêmes points seront soumis par mes collègues français à Jean-Michel André en France…
Le conflit à propos d’Elise André de 3 ans, que les parents se déchirent, attire toujours une attention soutenue en Russie, comme en France. L’un des derniers rounds des pourparlers a été tenu par les avocats d’Irina Belenkaya et de Jean-Michel André, respectivement Anatoli Koutcherena, membre de la Chambre civique de Russie et les avocats français Victor Gioia et Grigori Rincourg, arrivé le 3 mai à Moscou. En ouvrant la conférence de presse, le médiateur russe M. Koutcherena a informé des entretiens que ses collègues français avaient eus à Moscou avec les responsables de plusieurs départements juridiques russes et toutes récentes ententes concernant l’affaire d’Elise André.
Nous avons en principe préparé ce lundi plusieurs projets, dont celui d’un accord à l’amiable, qui aurait permis aux avocats Grigori Rincourg et Victor Gioia, respectivement d’Irina Belenkaya et de Jean-Michel André, de signer ces documents, a dit Anatoli Koutcherena. Et comme Irina Belenkaya est maintenant incarcérée, nous connaissons certaines difficultés à concerter les questions qui peuvent surgir chez Irina et Jean-Michel au sujet du projet d’accord à l’amiable, préparé par nous. Pour cette raison nous avons convenus que le matin du 6 mai je me rendrai à Budapest pour concerter avec Irina les points de l’accord, proposés conjointement par les avocats français et russes. Les mêmes points seront soumis par mes collègues français à Jean-Michel André en France…
Le Maître Victor Gioia a exposé son avis sur cette affaire.
