La communauté économique eurasienne et l’UE ont décidé de signer prochainement un mémorandum de coopération, ce qui favorisera notre marche vers un espace économique commun, a déclaré le secrétaire général de la Communauté Taïr Mansourov au cours d’une conférence de presse vidéo à Moscou.
La CEEA est en passe de devenir une analogue orientale de l’UE. La formation de l’Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan, qui deviendra effective le 1 janvier 2O1O, est un pas important dans cette direction. Les processus intégrationnistes au sein de la CEEA sont de grande actualité dans la nouvelle situation économique mondiale. Ce n’est pas par hasard que les membres de la Communauté -Russie, Biélorussie, Kazakhstan, Kirghizie et Tadjikistan – concertent la tactique de sortie de la crise avec les pays observateurs- Arménie, Moldavie et Ukraine. L’Union douanière supprimera les barrières devant la libre circulation des capitaux, des marchandises et des services entre les pays, ce qui contribuera à la formation d’un marché commun comparable en perspective à l’UE. La Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan seront les premiers à ouvrir leur frontières intérieures aux marchandises avant la fin de l’année – les autres membres de l’organisation les suivront et dans le futur — d’autres pays de la CEI, estime le secrétaire général de la CEEA Taîr Mansourov.
La création de l’Union douanière de 3 Etats sur l’espace postsoviétique est la forme supérieure d’intégration qui illustre la volonté de nos pays de coopérer dans l’économie. Nous espérons élargir davantage l’Union douanière par la suite,, comme cela avait été proposé par le premier ministre russe. La Kirghizie et le Tadjikistan ont également de tels projets.
La CEEA est en passe de devenir une analogue orientale de l’UE. La formation de l’Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan, qui deviendra effective le 1 janvier 2O1O, est un pas important dans cette direction. Les processus intégrationnistes au sein de la CEEA sont de grande actualité dans la nouvelle situation économique mondiale. Ce n’est pas par hasard que les membres de la Communauté -Russie, Biélorussie, Kazakhstan, Kirghizie et Tadjikistan – concertent la tactique de sortie de la crise avec les pays observateurs- Arménie, Moldavie et Ukraine. L’Union douanière supprimera les barrières devant la libre circulation des capitaux, des marchandises et des services entre les pays, ce qui contribuera à la formation d’un marché commun comparable en perspective à l’UE. La Russie, la Biélorussie et le Kazakhstan seront les premiers à ouvrir leur frontières intérieures aux marchandises avant la fin de l’année – les autres membres de l’organisation les suivront et dans le futur — d’autres pays de la CEI, estime le secrétaire général de la CEEA Taîr Mansourov.
La création de l’Union douanière de 3 Etats sur l’espace postsoviétique est la forme supérieure d’intégration qui illustre la volonté de nos pays de coopérer dans l’économie. Nous espérons élargir davantage l’Union douanière par la suite,, comme cela avait été proposé par le premier ministre russe. La Kirghizie et le Tadjikistan ont également de tels projets.
On peut dire que les étapes de l’intégration des pays de la CEEA sont identiques à celles qui avaient lieu au moment de la formation de l’UE. Mais si l’UE a mis des dizaines d’années à le faire, la Communauté eurasienne, créée en l’an 2OOO, avance à pas de géant, dit Taïr Mansourov.
Notre développement est à bien des égards analogue à celui de l’UE. Le mouvement des pays européens à l’intégration a commencé par l’Union du charbon et de l’acier en 1951, ensuite il y a eu la Communauté européenne de l’Energie Atomique et seulement en 1968- l’Union douanière. Ce fut 17 ans après le déclenchement des processus intégrationnistes. Nous emboitons le pas à l’UE, parce que c’est la forme classique de l’intégration. Ayant formé en 2OOO la Communauté économique eurasienne, nous avons assuré le travail réel de la zone de libre-échange, ce qui a permis de plus que quadrupler les échanges de marchandises entre les pays membres.
La création de l’Union douanière, poursuit Taïr Mansourov, est une percée en matière d’intégration économique régionale sur l’espace postsoviétique, percée qui a grandement influé sur la décision de Moscou d’adhérer à l’Organisation mondiale du Commerce non pas seule , mais avec la Biélorussie et le Kazakhstan, ses partenaires de l’Union douanière .
Notre développement est à bien des égards analogue à celui de l’UE. Le mouvement des pays européens à l’intégration a commencé par l’Union du charbon et de l’acier en 1951, ensuite il y a eu la Communauté européenne de l’Energie Atomique et seulement en 1968- l’Union douanière. Ce fut 17 ans après le déclenchement des processus intégrationnistes. Nous emboitons le pas à l’UE, parce que c’est la forme classique de l’intégration. Ayant formé en 2OOO la Communauté économique eurasienne, nous avons assuré le travail réel de la zone de libre-échange, ce qui a permis de plus que quadrupler les échanges de marchandises entre les pays membres.
La création de l’Union douanière, poursuit Taïr Mansourov, est une percée en matière d’intégration économique régionale sur l’espace postsoviétique, percée qui a grandement influé sur la décision de Moscou d’adhérer à l’Organisation mondiale du Commerce non pas seule , mais avec la Biélorussie et le Kazakhstan, ses partenaires de l’Union douanière .
