Le chef du Pentagone Robert Gates a déclaré au cours d’une conférence de presse à Bratislava que le radar dans le sud de la Russie pourrait être un complément utile au système ABM, que les Etats-Unis mettent en place en Europe. Le ministère russe des Affaires étrangères avait déclaré auparavant que la Russie était toujours disposée à créer un système de défense antimissile conjointement avec les Etats-Unis et l’OTAN.
Selon le secrétaire américain à la Défense, le nouveau système ABM en Europe, annoncé il y a quelques semaines par Barack Obama, se prête mieux que l’ancien à l’intégration du radar russe. « Le radar que la Russie possède dans le sud pourrait apporter une contribution utile à la défense globale de l’Europe , surtout contre les missiles iraniens. Comme je l’ai déjà maintes fois déclaré, nous serions favorables au partenariat avec la Russie dans ce domaine », a déclaré Robert Gates au cours d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre ministérielle de l’OTAN à Bratislava.
Le président Barack Obama et le chef du Pentagone Robert Gates ont annoncé le 17 septembre une révision de projets, concernant le déploiement du système de défense antimissile. Les Etats-Unis n’ont pas renoncé à l’installation d’éléments terrestres du système en Europe, mais ils en ont repoussé les délais du déploiement à 2O15. Selon le Pentagone, la nouvelle architecture du système antimissile serait plus souple, moins chère et répondrait mieux aux menaces nouvelles que le précédent . Moscou, qui a pris acte de cette position des Américains, souhaite que tous les aspects du nouveau projet soient bien précisés, tout d’abord du point de vue de la garantie de sa sécurité nationale.
Selon le secrétaire américain à la Défense, le nouveau système ABM en Europe, annoncé il y a quelques semaines par Barack Obama, se prête mieux que l’ancien à l’intégration du radar russe. « Le radar que la Russie possède dans le sud pourrait apporter une contribution utile à la défense globale de l’Europe , surtout contre les missiles iraniens. Comme je l’ai déjà maintes fois déclaré, nous serions favorables au partenariat avec la Russie dans ce domaine », a déclaré Robert Gates au cours d’une conférence de presse à l’issue de la rencontre ministérielle de l’OTAN à Bratislava.
Le président Barack Obama et le chef du Pentagone Robert Gates ont annoncé le 17 septembre une révision de projets, concernant le déploiement du système de défense antimissile. Les Etats-Unis n’ont pas renoncé à l’installation d’éléments terrestres du système en Europe, mais ils en ont repoussé les délais du déploiement à 2O15. Selon le Pentagone, la nouvelle architecture du système antimissile serait plus souple, moins chère et répondrait mieux aux menaces nouvelles que le précédent . Moscou, qui a pris acte de cette position des Américains, souhaite que tous les aspects du nouveau projet soient bien précisés, tout d’abord du point de vue de la garantie de sa sécurité nationale.
Interrogé par les journalistes sur le degré de coopération avec la Russie dans ce domaine, Robert Gates a noté que le nouveau projet de défense antimissile faciliterait l’adhésion des partenaires nouveaux et la coordination avec eux. « Il nous est devenu plus facile de rendre notre système compatible avec les radars et les systèmes antimissiles des alliés, dont de la Russie », a-t-il déclaré.
Le Ministère russe des Affaires étrangères a déclaré le 13 octobre que la Russie était toujours disposée à prendre part à la création d’un système collectif de défense antimissile conjointement avec les Etats-Unis et l’OTAN et que ses propositions, concernant l’intégration à ce système des radars russes à Armavir et à Gabala ( en Azerbaïdjan) demeuraient toujours valables.
« Nous disons depuis longtemps que nous aimerions voir la Russie comme partenaire de défense antimissile, a déclaré le secrétaire américain à la Défense au sommet de Bratislava. Le radar situé dans le sud de la Russie serait très utile à la défense commune de l’Europe, a ajouté Robert Gates. Selon lui, ses homologues atlantiques soutiennent entièrement la participation de la Russie comme partenaire au bouclier antimissile européen.
Le Ministère russe des Affaires étrangères a déclaré le 13 octobre que la Russie était toujours disposée à prendre part à la création d’un système collectif de défense antimissile conjointement avec les Etats-Unis et l’OTAN et que ses propositions, concernant l’intégration à ce système des radars russes à Armavir et à Gabala ( en Azerbaïdjan) demeuraient toujours valables.
« Nous disons depuis longtemps que nous aimerions voir la Russie comme partenaire de défense antimissile, a déclaré le secrétaire américain à la Défense au sommet de Bratislava. Le radar situé dans le sud de la Russie serait très utile à la défense commune de l’Europe, a ajouté Robert Gates. Selon lui, ses homologues atlantiques soutiennent entièrement la participation de la Russie comme partenaire au bouclier antimissile européen.
