Le huitième Festival international de Moscou « Photobiennale 2010 » ouvrira des portes la semaine prochaine. Les projets français sont toujours largement présentés à ce forum de Moscou. Aujourd’hui, dans le cadre de l’année de la France en Russie, le publique a pu prendre connaissance d’un des projets de la Biennale, préparé par Olga Sviblova. L’exposition « Les rêves paisibles de la mémoire » est consacrée au 40ème anniversaire du célèbre festival international « Les rencontres d’Arles». Il y a 40 ans Lucien Clergue et encore quelques photographes ont conçu une rencontre merveilleuse au début de l’été. Pourtant, quand au début des années 1970 les meilleurs photographes et les amateurs de cet art se sont réunis à Arles, la photo n’était pas vraiment perçue comme l’art. Notre correspondante Olga Denissova a palé avec le curateur de l’exposition Jean Jacques Naudet.
Plusieurs personnes connaissent Arles grâce aux tableaux de Vincent van Gogh et les histoires de la vie du peintre. Au XXème siècle la ville se dévoile sur les photos en noir et blanc et celles en couleur où on peut voir les photographes et les visiteurs « des Rencontres à Arles » : musiciens, écrivains, comédiens. « Les rêves paisibles de la mémoire » à Moscou ce ne sont pas les œuvres présentés dans la ville du sud de la France dans de différentes années, mais ce sont les photos des photographes mêmes et des participants, qui ont crée pendant plusieurs années son histoire. Selon le fondateur et le directeur de la Maison de photo de Moscou, « On ne pouvait pas ne pas présenter cette exposition à Moscou ».
Sur ces photos on voit comment les amis ont rencontré les amis. Cela sera très intéressant de découvrir ces personnages. C’est un laboratoire où les discussions théorétiques et pratiques sérieuses se déroulaient. En même temps ils organisaient en riant sur la plage une classe de maître sur la prise en photo des corps nus. On ne pouvait pas ne pas montrer cette atmosphère magnifique.
Plusieurs personnes connaissent Arles grâce aux tableaux de Vincent van Gogh et les histoires de la vie du peintre. Au XXème siècle la ville se dévoile sur les photos en noir et blanc et celles en couleur où on peut voir les photographes et les visiteurs « des Rencontres à Arles » : musiciens, écrivains, comédiens. « Les rêves paisibles de la mémoire » à Moscou ce ne sont pas les œuvres présentés dans la ville du sud de la France dans de différentes années, mais ce sont les photos des photographes mêmes et des participants, qui ont crée pendant plusieurs années son histoire. Selon le fondateur et le directeur de la Maison de photo de Moscou, « On ne pouvait pas ne pas présenter cette exposition à Moscou ».
Sur ces photos on voit comment les amis ont rencontré les amis. Cela sera très intéressant de découvrir ces personnages. C’est un laboratoire où les discussions théorétiques et pratiques sérieuses se déroulaient. En même temps ils organisaient en riant sur la plage une classe de maître sur la prise en photo des corps nus. On ne pouvait pas ne pas montrer cette atmosphère magnifique.
