Un événement remarquable s’est produit dans le développement du complexe énergétique nucléaire russe : le 2ème réacteur de la centrale nucléaire de Volgodonsk (Rostov) a été mis jeudi en exploitation.
Ce réacteur de mille mégawatts est la première installation mise en marche dans le cadre du Programme fédéral de développement de l’énergie nucléaire d’ici 2020. Le gouvernement donne la priorité à la construction des centrales nucléaires écologiques à cycle fermé et au raffermissement des positions de la Russie au marché mondial des technologies nucléaires. Vladimir Poutine a dit à Volgodonsk que la Russie était prête à assurer un quart du marché mondial des services dans la construction et l’exploitation des centrales nucléaires. Les réacteurs construits par les entreprises russes constituent aujourd’hui un article d’exportation largement demandé, dit le directeur de l’Institut de stratégie énergétique Vitali Bouchouev :
Nous avons appris à bien construire les installations destinées à l’exportation, les réacteurs que nous livrons à l’étranger sont parmi les meilleurs au monde. Les groupes électrogènes installés à la centrale Laviza, en Finlande, sont classés parmi les meilleurs d’après les critères de l’AIEA. Les tentatives d’assurer les commandes ont une très grande importance pour la Russie et les pays étrangers. L’Inde, le Moyen-Orient ont besoin de nos réacteurs. Il faut accorder une grande attention à l’Amérique latine et à l’Afrique qui manquent de ressources.
Ce réacteur de mille mégawatts est la première installation mise en marche dans le cadre du Programme fédéral de développement de l’énergie nucléaire d’ici 2020. Le gouvernement donne la priorité à la construction des centrales nucléaires écologiques à cycle fermé et au raffermissement des positions de la Russie au marché mondial des technologies nucléaires. Vladimir Poutine a dit à Volgodonsk que la Russie était prête à assurer un quart du marché mondial des services dans la construction et l’exploitation des centrales nucléaires. Les réacteurs construits par les entreprises russes constituent aujourd’hui un article d’exportation largement demandé, dit le directeur de l’Institut de stratégie énergétique Vitali Bouchouev :
Nous avons appris à bien construire les installations destinées à l’exportation, les réacteurs que nous livrons à l’étranger sont parmi les meilleurs au monde. Les groupes électrogènes installés à la centrale Laviza, en Finlande, sont classés parmi les meilleurs d’après les critères de l’AIEA. Les tentatives d’assurer les commandes ont une très grande importance pour la Russie et les pays étrangers. L’Inde, le Moyen-Orient ont besoin de nos réacteurs. Il faut accorder une grande attention à l’Amérique latine et à l’Afrique qui manquent de ressources.
La Russie dispose de technologies de pointe dans la construction des réacteurs, notamment au plan de la sûreté, compétitives aux innovations françaises, américaines et nippones, souligne le directeur du Fonds de développement énergétique Serguei Pikine :
Nous avons foncièrement changé d’attitude envers la sûreté des réacteurs nucléaires depuis l’avarie à la centrale de Tchernobyl. Cela concerne l’évaluation des risques. De ce fait, les réacteurs nucléaires sont actuellement beaucoup plus fiables que plusieurs centrales thermiques ou hydrauliques.
Les spécialistes russes sont en train de construire cinq réacteurs à l’étranger. La Russie participe aux appels d’offres en Egypte et au Maroc et envisage la possibilité de participer aux projets au Vietnam, en Chine, en Argentine, au Brésil, en Tchéquie et en Finlande. La Russie et la Turquie ont signé récemment la déclaration sur la construction d’une centrale nucléaire en Turquie.
Nous avons foncièrement changé d’attitude envers la sûreté des réacteurs nucléaires depuis l’avarie à la centrale de Tchernobyl. Cela concerne l’évaluation des risques. De ce fait, les réacteurs nucléaires sont actuellement beaucoup plus fiables que plusieurs centrales thermiques ou hydrauliques.
Les spécialistes russes sont en train de construire cinq réacteurs à l’étranger. La Russie participe aux appels d’offres en Egypte et au Maroc et envisage la possibilité de participer aux projets au Vietnam, en Chine, en Argentine, au Brésil, en Tchéquie et en Finlande. La Russie et la Turquie ont signé récemment la déclaration sur la construction d’une centrale nucléaire en Turquie.
