La Grèce a consenti aux réformes en échange aux crédits dégagés par l'UE et le FMI

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La Grèce a consenti aux réformes en échange aux crédits dégagés par l'Union européenne et le Fonds monétaire international.

La Grèce a consenti aux réformes en échange aux crédits dégagés par l'Union européenne et le Fonds monétaire international. Le pays s'est retrouvé au bord d'une faillite à cause de l'impossibilité de refinancer la dette publique de 300 milliards de dollars. A la veille des négociations avec l'Union européenne et le FMI les parties se sont tombées d'accord qu'en l'espace de trois années Athènes recevront jusqu'à 160 milliards de dollars à bas intérêts. Le gouvernement grec s'est engagé à réduire les dépenses publiques et d'augmenter les recettes. Parmi autres mesures, on compte le blocage des salaires dans le secteur public pour une période de trois années et l'augmentation de l'âge de retraite et des impôts. Les réformes visées n'ont pas reçu le soutien populaire et ont fait sortir dans les rues des dizaines de milliers de manifestants grecs.

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