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Zemmour sur sa potentielle candidature: "Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens"
Zemmour sur sa potentielle candidature: "Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens"
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Éric Zemmour, qui continue d'entretenir le flou sur une candidature à la présidentielle, s'en est pris dimanche aux Républicains (LR), "un parti de notables... 26.09.2021, Sputnik Afrique
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"Ils ont une compétence technique que je n'ai pas, d'élus, de maires, de présidents de conseils régionaux... mais à quoi sert la compétence si elle est conjuguée avec l'impuissance ?", a-t-il interrogé dans l'émission Le Grand Rendez-Vous Europe 1/CNEWS/Les Echos.Quand à la candidate du RN Marine Le Pen, elle a selon Eric Zemmour "des réflexes de femme de gauche", mais "n'est pas [son] obsession". "Je suis d'une famille politique qui s'appelait le RPR quand j'étais jeune, et je pense que si le Front national ou le Rassemblement national a autant progressé, c'est justement parce que le RPR a été nié, trahi", a-t-il poursuivi, disant avoir démontré dans ses livres "comment le chiraquisme avait trahi le gaullisme, avait trahi la droite".Pour Éric Zemmour, LR, qui doit désigner son candidat le 4 décembre, est "un parti de notables centristes, qui après prétendent que je ne partage pas leurs valeurs. Mais eux-mêmes, en quoi partagent-ils les valeurs du RPR et de la droite d'avant ? Ils ont eux-mêmes trahi le général de Gaulle et même Georges Pompidou".Dans un entretien presque entièrement consacré à sa conception de l'islam, des étrangers en France et à sa vision de l'histoire de France, l'éditorialiste a par ailleurs réitéré son opposition aux "lois mémorielles", ainsi qu'à la loi Pleven de 1972 réprimant les injures racistes et la provocation à la haine raciale, qu'il a jugée "liberticide". Questionné sur une possible annonce de candidature -et alors que les derniers sondages lui accordent quelque 10% d'intentions de vote-, il a répété qu'il voulait "choisir son moment". "Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens", a-t-il jugé.
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Zemmour sur sa potentielle candidature: "Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens"
13:45 26.09.2021 (Mis à jour: 17:47 10.01.2022) Éric Zemmour, qui continue d'entretenir le flou sur une candidature à la présidentielle, s'en est pris dimanche aux Républicains (LR), "un parti de notables centristes" qu'il accuse d'avoir "trahi la droite" gaulliste dont il se réclame.
"Ils ont une compétence technique que je n'ai pas, d'élus, de maires, de présidents de conseils régionaux... mais à quoi sert la compétence si elle est conjuguée avec l'impuissance ?", a-t-il interrogé dans l'émission Le Grand Rendez-Vous Europe 1/CNEWS/Les Echos.
"C'est leur vrai problème", a-t-il exposé. "Une impuissance à la fois organisée, qu'ils ont acceptée -les juges, la Commission de Bruxelles-, et une impuissance née de leur incapacité à faire le bon diagnostic historique", a-t-il estimé.
Quand à la candidate du RN Marine Le Pen, elle a selon Eric Zemmour "des réflexes de femme de gauche", mais "n'est pas [son] obsession". "Je suis d'une famille politique qui s'appelait le RPR quand j'étais jeune, et je pense que si le Front national ou le Rassemblement national a autant progressé, c'est justement parce que le RPR a été nié, trahi", a-t-il poursuivi, disant avoir démontré dans ses livres "comment le chiraquisme avait trahi le gaullisme, avait trahi la droite".
Pour Éric Zemmour, LR, qui doit désigner son candidat le 4 décembre, est "un parti de notables centristes, qui après prétendent que je ne partage pas leurs valeurs. Mais eux-mêmes, en quoi partagent-ils les valeurs du RPR et de la droite d'avant ? Ils ont eux-mêmes trahi le général de Gaulle et même Georges Pompidou".
Dans un entretien presque entièrement consacré à sa conception de l'islam, des étrangers en France et à sa vision de l'histoire de France, l'éditorialiste a par ailleurs réitéré son opposition aux "lois mémorielles", ainsi qu'à la loi Pleven de 1972 réprimant les injures racistes et la provocation à la haine raciale, qu'il a jugée "liberticide".
Questionné sur une possible annonce de candidature -et alors que les derniers sondages lui accordent quelque 10% d'intentions de vote-, il a répété qu'il voulait "choisir son moment". "Si je n'y allais pas, je décevrais beaucoup de gens", a-t-il jugé.