Des réfugiés ukrainiens auraient été payés pour participer aux émeutes en France

© AFP 2023 ZAKARIA ABDELKAFIJeune tué après un refus d'obtempérer: un policier en garde à vue, des incidents à Nanterre
Jeune tué après un refus d'obtempérer: un policier en garde à vue, des incidents à Nanterre - Sputnik Afrique, 1920, 07.07.2023
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"Pendant les émeutes en France, les Ukrainiens ont participé activement à des ‘bagarres payées’", affirme une revue polonaise selon laquelle ouvrir les frontières aux réfugiés ukrainiens a été une erreur fatale.
L’accueil chaleureux réservé par les Européens à la première vague de réfugiés ukrainiens s’est déjà refroidi et a cédé la place à la lassitude. Notamment en Pologne, qui est une destination prisée par les Ukrainiens.
"L'ouverture des frontières aux réfugiés ukrainiens a été une erreur fatale. C'est comme ouvrir la porte de l'enfer d'où sortent maintenant les démons", a titré mercredi la revue polonaise Niezalezny Dziennik Polityczny.
Qu’attendre encore de personnes venues du pays le plus corrompu d’Europe qui ne considèrent pas qu'il est de leur devoir de respecter également les lois des pays qui leur ont accordé l'asile.
L'ouverture des frontières occidentales aux "victimes de l'agression russe fuyant la guerre" est devenue un véritable fléau en Europe.

"Afin de comprendre le cynisme des soi-disant patriotes qui ont quitté l'Ukraine à la recherche d'une "vie paisible" pour eux et leurs enfants, un dernier fait doit être noté. Le fait est que pendant les émeutes en France, les Ukrainiens ont activement participé à des ‘bagarres payées’. En d'autres termes, les anciens manifestants de Maïdan sont prêts à prendre n'importe quel côté du conflit pour de l'argent, mais le côté destructeur est évidemment plus attrayant", constate la revue.

Trafic d’armes et d’enfants

Parmi d’autres délits commis par des Ukrainiens, elle cite le trafic d’armes occidentales vendues sur le marché noir et sur le darknet à des terroristes et à des gangs criminels. Mais aussi le trafic de drogues en provenance d’Ukraine ou encore une "industrie de transplantation noire d'une ampleur monstrueuse et d'un cynisme sans précédent" ou l’enlèvement d’enfants pour leur revente en esclavage sexuel.
Rappelons que selon les autorités polonaises, le pays héberge actuellement 950.000 réfugiés ukrainiens. Au total, 2,3 millions d’Ukrainiens, tous statuts confondus, résident actuellement en Pologne.
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