Comment l’empire de Mark Zuckerberg est au service de Big Brother

© Photo Unsplash / Simon AbramsUn homme devant l'ordinateur (image d'illustration)
Un homme devant l'ordinateur (image d'illustration) - Sputnik Afrique, 1920, 04.02.2024
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"Il est clair que les agences de renseignement du monde entier, et pas seulement des États-Unis, peuvent utiliser Facebook* à leur avantage", explique à Sputnik un lanceur d'alerte à l'occasion du 20e anniversaire de la création du géant des médias sociaux.
Ryan Hartwig, qui a été employé dans le passé au sein de Facebook*, souligne la campagne généralisée et systématique visant à censurer les opinions qui nuisent aux intérêts de l’État et des grandes entreprises.
"Facebook* manipule l'opinion publique en supprimant les opinions impopulaires ou en autorisant des exceptions dignes d'intérêt pour les personnes qu'ils apprécient", détaille-t-il.
L’homme a partagé avec Sputnik des preuves du parti pris de l’entreprise américaine.
L'une d'elles est une capture d'écran demandant aux modérateurs de contenu de ne pas permettre que le discours de l'ancien animateur de CNN Don Lemon contre les "terroristes blancs" soit qualifié de discours de haine. Une autre capture d'écran représente l'instruction de retirer de Facebook* une vidéo d'un allié du Président vénézuélien Nicolas Maduro appelant les Vénézuéliens à prendre les armes pour défendre le pays contre l'impérialisme américain.
* Meta (Facebook et Instagram) est interdite en Russie pour activités extrémistes
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