La Russie invite les Israéliens et les Palestiniens à observer strictement les clauses de la Feuille de route, plan de règlement au Proche-Orient élaboré par les médiateurs internationaux, a déclaré le vice-ministre russe des AE Alexandre Saltanov en prévision de la visite de Tsipi Livni, chef de la diplomatie israélienne, à Moscou.
Selon le diplomate russe, les parties doivent faire preuve de retenue ce qui est une condition très importante d’un dialogue constructif. A son avis, les Israéliens et les Palestiniens devraient s’abstenir de démarches susceptibles d’aggraver la situation. Les pilonnages de missiles du territoire israélien par les commandos palestiniens sont inadmissibles. Dans le même temps, Israël doit adopter une attitude pondérée au lieu d’engager les actes de châtiment et de coloniser les territoires palestiniens.
Alexandre Saltanov a indiqué qu’il était très important d’assurer un règlement global au Proche-Orient. En plus des pourparlers entre les Israéliens et les Palestiniens, il est nécessaire d’engager un dialogue circonstancié sur les volets syrien et libanais. Sans cela, il est impossible d’établir la paix et la stabilité dans la région.
Selon le diplomate russe, les parties doivent faire preuve de retenue ce qui est une condition très importante d’un dialogue constructif. A son avis, les Israéliens et les Palestiniens devraient s’abstenir de démarches susceptibles d’aggraver la situation. Les pilonnages de missiles du territoire israélien par les commandos palestiniens sont inadmissibles. Dans le même temps, Israël doit adopter une attitude pondérée au lieu d’engager les actes de châtiment et de coloniser les territoires palestiniens.
Alexandre Saltanov a indiqué qu’il était très important d’assurer un règlement global au Proche-Orient. En plus des pourparlers entre les Israéliens et les Palestiniens, il est nécessaire d’engager un dialogue circonstancié sur les volets syrien et libanais. Sans cela, il est impossible d’établir la paix et la stabilité dans la région.
Les parties au conflit en prennent graduellement conscience. La ministre israélienne des AE Tsipi Livni s’est entretenue à Jérusalem avec le co-président du groupe de travail palestinien pour le règlement Ahmad Krea. Les parties ont envisagé pour la première fois après une pause de sept ans le statut de Jérusalem, les colonies en Cisjordanie, le rapatriement des réfugiés palestiniens et les frontières du futur Etat palestinien. Ce sont les problèmes clés spécifiés dans la Feuille de route. Sans les régler il est impossible de surmonter la crise au Proche-Orient.
La Feuille de route n’a pas d’alternative. La visite du président des Etats-Unis George Bush dans la région le confirme. Il n’a pas formulé de nouvelles idées concernant le règlement. Cela est, d’ailleurs, impossible Bush ayant essayé avant tout de neutraliser le rôle de plus en plus important de l’Iran dans la région et d’accroître les livraisons militaires américaines au Proche-Orient. Dans ce contexte les parties au conflit espèrent que Moscou prêtera son concours au règlement. Au micro l’expert de l’Institut d’études stratégiques Serguei Demidenko :
Tout comme plusieurs autres pays du Proche-Orient, Israël considère la Russie comme une force qui pourrait faire avancer le processus de règlement au Proche-Orient, au moins sur certains volets. La visite de Tsipi Livni, chef de la diplomatie israélienne, à Moscou qui commence jeudi est un pas dans ce sens.
La Feuille de route n’a pas d’alternative. La visite du président des Etats-Unis George Bush dans la région le confirme. Il n’a pas formulé de nouvelles idées concernant le règlement. Cela est, d’ailleurs, impossible Bush ayant essayé avant tout de neutraliser le rôle de plus en plus important de l’Iran dans la région et d’accroître les livraisons militaires américaines au Proche-Orient. Dans ce contexte les parties au conflit espèrent que Moscou prêtera son concours au règlement. Au micro l’expert de l’Institut d’études stratégiques Serguei Demidenko :
Tout comme plusieurs autres pays du Proche-Orient, Israël considère la Russie comme une force qui pourrait faire avancer le processus de règlement au Proche-Orient, au moins sur certains volets. La visite de Tsipi Livni, chef de la diplomatie israélienne, à Moscou qui commence jeudi est un pas dans ce sens.
