La Vérité sur l’Algérie Française (Partie II)

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Pour remercier les Français d’avoir construits toutes ces structures humanistes ; les terroristes algériens

Pour remercier les Français d’avoir construits toutes ces structures humanistes ; les terroristes algériens ont détruit tout cela, soutenus et armés par des révolutionnaires formés par les dictatures communistes d’Union soviétique, de république populaire de Chine, d’Indonésie, du Viêt-Nam, de l’Egypte de Nasser, des pays du Maghreb, de la Yougoslavie de Tito, de la Tchécoslovaquie, de la Hongrie, et déjà des Etats-Unis - qui ont toujours cherché à nous remplacer dans nos colonies – en soutenant la gauche algérienne comme aujourd’hui les islamistes et l’opposition anti Poutine en Russie.

Ces courageux combattants de la liberté ont alors déclenché une effroyable guerre terroriste en assassinant et en martyrisant des instituteurs et de petits colons désarmés, beaucoup plus facile à détruire que des militaires armés. Est-ce cela l’héroïsme du FNL ?

Dans l’année qui précéda la Toussaint rouge dans les Aurès, en 1954 qui marqua le début de la guerre, ce ne sont pas moins de 53 attentats anti français qui furent commis contre des braves gens (instituteurs, commerçants, agriculteurs, consommateurs dans des cafés). Leurs crimes étaient perpétués avec la complicité de transfuges, de collabos du parti communiste français renouant avec les habitudes prises du temps du pacte germano-soviétique. Ces traitres, les porteurs de valise se nommaient Daniel Timsit, militant du parti communiste qui rejoignit le FLN et mit en place un réseau de laboratoires de fabrications de bombes destinées à assassiner ses compatriotes. L’aspirant Henri Maillot, autre communiste, trahit la France en désertant avec un camion d’armes et de munitions qu’il remit aux rebelles pour assassiner ses compatriotes. Luttant contre les troupes françaises auprès de ses complices du FLN, il fut heureusement pris et neutralisé puis fusillé, juste châtiment. Citons encore Danièle Mine, poseuse de bombe du FLN, responsable de l’attentat du Milk Bar à Alger, qui fit tant de victimes parmi la jeunesse innocente qui le fréquentait ; Pierre Ghenassia, un jeune militant communiste, etc. La liste serait longue.

La révolution algérienne que l’on peut comprendre, fut l’enjeu de luttes internes pour la prise du pouvoir, et d’innombrables victimes. Le FLN, l’organisation la plus extrémiste s’imposa. Tout à fait minoritaire au début, il domine les autres groupements nationalistes algériens, par les massacres, la terreur, la torture, les mutilations et les menaces de mort, le racket, contrôlant ainsi les populations civiles qui voulaient profiter de l’effroyable colonialisme français. Quelques uns de ces massacres organisés, eurent même des conséquences dramatiques destinés à créer des points de non retour, comme celui d’Halia, petit village minier près de Philippeville en 1955, qui provoqua une réaction sauvage des colons terrorisés, selon les méthodes utilisées partout par les communistes.

En fait, les prémices à la rébellion, avaient eut lieu le 8 mai 1945. Des manifestations furent réprimées par la police, à Sétif et Guelma. Elles avaient dégénérées et 27 européens avaient été assassinés. L’armée régulière, avait rétablit l’ordre par une sévère répression qui poussa les nationalistes algériens à se révolter contre la France. Le nombre de morts fut officiellement de 1 500, ce qui est déjà énorme, mais non de 45 000 comme l’affirme mensongèrement le pouvoir en place aujourd’hui à Alger. La réalité pourrait être de 20 00 victimes. Cette répression aveugle radicalisa les nationalistes mais la paix fut rétablie pour dix ans. L’absence de réforme par les gouvernements successifs de la IVème République et l’opposition obstinée d’une partie des colons qui ne voulaient rien céder furent la cause des malheurs à venir également.

Alors que la guerre était gagnée militairement par l’armée française Charles de Gaulle trahissant ses engagements, abandonna trois départements français qui furent livrés à la barbarie sanguinaire du FLN. C’est ainsi qu’ils exterminèrent sans difficultés, des milliers de colons et d’Algériens fidèles à la République française malgré son abandon, leur abandon.

Dès le mois suivant, les accords d’Evian de mars 1962, le FLN se livra sur le territoire à une politique de terreur effroyable pour faire fuir les Européens qui avaient le choix entre « la valise ou le cercueil ». Des centaines de personnes furent enlevées, torturées et exécutées. Aujourd’hui encore, 1 700 Européens sont toujours portés disparus. Le 5 juillet à Oran, une manifestation dégénéra en chasse à l’Européen. Pendant plusieurs heures, plus de 700 pieds-noirs furent enlevés et massacrés « sous les yeux » des 1 800 soldats de l’armée commandés par le général Kast, déshonneur de l’armée française, qui avait reçu l’ordre de ne pas intervenir et de rester consigné dans ses casernes. « Par balle pour les plus chanceux, rapporte Guillaume Zeller, au couteau, à la hache ou au rasoir pour la majorité ». Aujourd’hui leurs cadavres n’ont toujours pas été retrouvés. Ainsi, fuyant cette barbarie criminelle du FLN, près d’un million d’Européens qui avaient fait l’Algérie moderne s’enfuirent dans l’abandon et l’épouvante.

Dans les jours qui suivirent, le FLN livra au même sort près de 80 000 harkis, ces supplétifs de l’armée française, abandonnés et désarmés une fois encore par Katz qui obéissait à l’ordre de De Gaulle de ne pas intervenir en consignant jusqu’à 17 h, les 18 000 soldats qu’il avait sous ses ordres. Cela n’empêcha pas le général de la division de dormir.

En 1960, ces fidèles de l’armée régulière de la République était au nombre de 85 000. Le 19 mars 1962, selon le rapport de l’ONU, 263 000 musulmans étaient engagés au côté des français, soit 60 000 militaires, 153 000 supplétifs dont 60 000 harkis et 50 000 notables francophiles représentant un million de personnes sur huit millions de musulmans. A ces chiffres, il convient d’ajouter 3 000 anciens éléments du FLN et de l’ALN qui s’étaient ralliés à la France. Ils seront tous massacrés après l’indépendance accordée par De Gaulle.

Aujourd’hui l’Algérie créée par la France et les pieds-noirs est devenu un vrai cloaque sous la domination des héritiers du FLN qui ont ruinés un pays prospère par des dizaines d’années de socialisme et de corruption, qui ont entraîné la destruction d’une agriculture autrefois prospère. Autrefois exportatrice, l’Algérie socialiste importe 80 % de sa consommation. Seul secteur prospère, le commerce des hydrocarbures du Sahara donné par De Gaulle permet à la dictature de Bouteflika de se maintenir.

A cause de cela, le peuple algérien doit s’exiler en masse en France. Le chiffre de ces nouveaux colonisateurs est estimé à environ cinq million d’individus qui s’installent en France. Malgré les ressources du pétrole, l’Algérie vit encore complètement en dépendance de la France économiquement. Sais-t-on qu’aujourd’hui les cercueils des Harkis souhaitant être enterré dans la terre de leur père, ne sont pas autorisé par les autorités de fait, à être débarqué et que de jeunes algériens sont en prison pour avoir défilé avec un drapeau français.

Pour le gouvernement issu du FLN, la France doit rester l’ennemie, sa barbarie et ses crimes demeurant le fondement de sa légitimité au pouvoir dans ce pays où la démocratie n’est qu’un mot. Ainsi les anciens terroristes s’accrochent par tous les moyens au pouvoir, dans une ambiance de gabegie, de prévarication, de racket et de tyrannie politique.

Sais-t-on que dans cette grande république « démocratique », l’armée algérienne est issue seulement d’une partie de la population et ne se recrute que dans les mêmes villages, les mêmes clans, les mêmes familles ?

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