« Il n'est pas question pour nous de faire une différence parmi les trente, d'autant plus qu'il y des Russes aussi dans ces 30 là et la situation pourrait être plus compliquée pour eux », a indiqué sur France Info Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace France.
« On a demandé à Jean-Marc Ayrault de ne pas oublier les 30 et d'adresser le même message aux autorités russes, il faut libérer les 30 », a-t-il ajouté.