Manning a reconnu qu’il avait violé la loi en divulguant des informations secrètes.
Toutefois, il a souligné que « les raisons qui l'ont poussé à le faire, n’étaient pas éliminées pour le moment ».
Manning est sûr qu’une guerre civile a repris en Irak, et les États-Unis examinent encore une fois la possibilité d'une intervention. Les médias américains couvrant l'intervention américaine en Irak et en Afghanistan, sont strictement contrôlés par l'armée, estime l’informateur de Wikileaks.