LE MINISTRE DES FINANCES NE S'ATTEND PAS, FACE A LA GUERRE EN IRAK, A DES CONSEQUENCES SERIEUSES POUR L'ECONOMIE NATIONALE

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MOSCOU, 20 mars /de notre correspondante Alla Issaïeva/. Les hostilités en Irak n'auront pas de conséquences sérieuses pour l'économie nationale, a déclaré jeudi aux journalistes le vice-premier ministre et ministre des Finances Alexeï Koudrine.

Selon lui, le système financier du pays pour l'année en cours est "immunisé" contre toutes sortes d'évolutions politiques et économiques dans le monde. Les indices économiques projetés seront réalisés, a-t-il souligné.

D'autre part, le ministère des Finances ne va pas revoir ses prévisions quant au cours de la monnaie nationale, selon lui.

Les prévisions d'avant-guerre relatives à la dynamique des cours du pétrole ne sont pour l'instant pas revues, a encore annoncé le vice-premier ministre. Alexeï Koudrine admet que le prix du pétrole peut augmenter encore pendant la guerre. Cet état de choses se maintiendra jusqu'à ce que les Etats-Unis "ne mettent pas sous leur contrôle les régions pétrolières et la production de brut", "ce qui demandera du temps", a fait observer le vice-premier ministre.

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