En ce qui concerne cet échec, il le considère comme un "cas malencontreux".
"Il n'y a pas longtemps la Compagnie pétrolière de Tioumen (TNK) a fusionné avec succès avec British Petroleum. Ce n'était pas un marché moins important de tous les points de vue. Il a dû être mieux préparé par les managers qui ont pris en considération tous les risques et non seulement les risques économiques", a dit Viktor Khristenko.
"Des fusions se font et se feront. Elles sont une réponse aux défis de la mondialisation car dans le monde "globalisé" les grandes sociétés ont plus de chance de survivre", a fait remarquer le vice-premier ministre, au cours d'un "lunch d'affaire" au siège du journal "Rossiiskaïa gazeta".
"L'affaire ne se limitera pas au secteur pétrolier, les fusions seront monnaie courante dans d'autres branches économiques également", a-t-il déclaré avec certitude.
