Les quotas de pêche autorisés sont peu importants, et l'État reste le seul acteur qui élève actuellement des alevins d'esturgeon en dépensant énormément d'argent, alors que le résultat profite à tout le monde. Cette mesure devrait donc permettre d'augmenter le patrimoine halieutique national et de créer un marché sectoriel civilisé en évitant de recourir à des sanctions musclées, a estimé le ministre.
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