Selon le document, les fonds octroyés ont augmenté de 33% par rapport à l'exercice précédent grâce à l'accroissement des montants destinés au financement du secteur privé.
Cette augmentation tient, dans une large mesure, à la simplification des formalités nécessaires pour avaliser l'octroi de ressources financières aux pays pauvres dans les conditions de crise alimentaire mondiale.
Les fonds ont été alloués aux pays membres de la Banque mondiale sous formes de prêts, de crédits, de garanties et d'investissements en capital social.
La flambée des prix des denrées alimentaires et des matières énergétiques s'est répercutée sur la vie de la population et a compliqué la mise en oeuvre de la politique macroéconomique malgré les rythmes élevés de croissance économique, surtout dans les pays de la CEI (Communauté des Etats indépendants), estime le vice-président de la Banque mondiale pour la région Europe et Asie centrale, Shigeo Katsu, cité dans le communiqué de presse.
La banque continuera de soutenir les efforts déployés par les pays de la région en vue de surmonter ces difficultés et intensifiera sa participation à la gestion des risques liés à la hausse des prix et au fonctionnement des marchés financiers mondiaux afin d'améliorer le niveau de vie des pays d'Europe et d'Asie centrale, a-t-il affirmé.
Le communiqué souligne que les fonds ont été octroyés à tous les secteurs économiques, dont l'administration publique, le commerce, la mise en place d'infrastructures, la construction d'autoroutes et le développement du réseau ferroviaire.
