Selon lui une baisse de 10 % du taux de change par rapport au dollat permettrait d'augmenter la richesse nationale française de 1,2 % et de créer 150 000 emplois. Si l'euro baissait on comblerait le déficit extérieur, créerait 300.000 emplois et réduirait d'un tiers le déficit.
« L'euro est trop cher, trop fort et un peu trop allemand », résume-t-il. « Il faudrait qu'il soit un peu plus italien, français et européen, tout simplement ».