Le torrent d'événements qu'a vécu la Grèce a lourdement influencé l'économie du pays. D'un côté, le fait que le pays ait accepté des mesures d'austérité lui a permis lundi de payer ses dettes à la BCE et au FMI, soit plus de six milliards d'euros. D'un autre côté, сes mêmes mesures et les "vacances bancaires" ont rendu la vie des entreprises grecques très difficile.
69% des sociétés grecques interrogées par l'association Endeavor de soutien à la création d'entreprises, disent avoir subi une baisse «significative» de leur chiffre d'affaires en raison des contrôles des capitaux. Une entreprise grecque sur neuf a dû arrêter sa production à cause de l'impossibilité d'acheter des matériaux. 45% ont pu néanmoins négocier des délais de paiement.
#GReality: Endeavor survey on Doing Business in #Greece under #capital_controls pic.twitter.com/htw1LDsPJr
— Endeavor Greece (@EndeavorGr) 20 июля 2015
Selon différents experts, les créanciers sont largement coupables de cette situation. Les économistes estiment que le but des créanciers lors des négociations était de montrer aux autres pays les conséquences éventuelles d'une tentative de sortie de la zone euro.
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