"Faire partie d'une armée et d'une police telles que celles de la Turquie, un pays qui dirige un système diabolique d'idolâtrie, c'est basculer dans la mécréance et blasphémer contre la foi véritable. Les soldats et les policiers dans de tels pays sont des infidèles. Il faut les donc combattre et les massacrer sans merci. Infidèles, ils n'ont d'autre choix que de brûler en enfer après leur mort", souligne le magazine.
"Les frappes turques menées en Syrie contre Daech et le soutien accordé à l'opposition syrienne coûteront cher à la Turquie", ont menacé les djihadistes.
Et d'ajouter: "Une fois de plus, les infidèles ont fait preuve d'une hostilité persévérante à l'égard de l'islam. Mais ils paieront les crimes perpétrés contre nos frères, grâce à nos efforts et à la bénédiction d'Allah".
Daech a également accusé la Turquie, qui mène des opérations contre les Kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan, de soutenir les milices kurdes syriennes (YPG)."Tout en luttant contre l'EI, la Turquie donne indélibérément un coup de pouce à ses ennemis, aux Kurdes. Ces derniers cherchent à renforcer leurs positions sur le territoire syrien grâce aux frappes menées par la coalition dans l'ensemble et la Turquie en particulier".
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