À Fukushima-1, endommagée le 11 mars 2011, des sangliers sauvages ont « colonisé » les rues et les alentours de la ville fantôme. Leurs photos, apparues dans la presse internationale, ont semé la panique au Japon.
Habituellement, ces animaux vivent dans les montagnes et évitent les zones résidentielles. Pourtant, après l'accident nucléaire de la centrale Fukushima-Daiichi le 11 mars 2011, les sangliers se sont installés dans la ville et ses alentours. Ces animaux se sont reproduits à une vitesse hallucinante.À la fin du mois de mars, le gouvernement japonais envisage d'autoriser à des anciens habitants de quelques villages des alentours à finalement rentrer chez eux. Mais les sangliers sauvages posent un problème sérieux.
Afin de libérer le territoire de ces animaux, les autorités locales engageront des brigades de chasseurs. Ceux-ci vont piéger les bêtes et les abattre. Le photographe Tor Khanai, qui accompagne une de ces brigades, a réussi à « immortaliser » quelques sangliers sauvages.Au cours de la dernière année, les chasseurs ont abattu plus de 300 de ces animaux.
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