Les médias UK révèlent une nouvelle hypothèse sur l’empoisonnement des Skripal

© REUTERS / Peter NichollsThe forensic tent, covering the bench where Sergei Skripal and his daughter Yulia were found, is repositioned by officials in protective suits in the centre of Salisbury, Britain, March 8, 2018.
The forensic tent, covering the bench where Sergei Skripal and his daughter Yulia were found, is repositioned by officials in protective suits in the centre of Salisbury, Britain, March 8, 2018. - Sputnik Afrique
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La substance qui a été utilisée pour empoisonner l’ex-agent double Sergueï Skripal et sa fille Ioulia, a été transportée sous «forme liquide», a rapporté mardi la télévision britannique.

La substance, utilisée pour empoisonner l'ex-agent double Sergueï Skripal et sa fille Ioulia, suscite toujours différents types d'hypothèses. Ainsi, l'agent toxique aurait pu être transporté au Royaume-Uni sous forme liquide, a apporté la chaîne de télévision britannique Sky News se référant au ministère britannique de l'Environnement et de l'agriculture.

Plus tôt, le journal Mail on Sanday écrivait que la substance aurait pu être utilisée sous forme de gel.

In this file photo taken on March 12, 2018 Police officers stand on duty at a cordon near a bench covered in a protective tent (R) at The Maltings shopping centre in Salisbury, southern England, on where former Russian spy Sergei Skripal and his daughter Yulia were found critically ill on a bench on March 4 and taken to hospital sparking a major incident - Sputnik Afrique
Quel est le lien entre l’affaire Skripal et les frappes en Syrie?
Le 4 mars dernier, l'ex-agent russe Sergueï Skripal et sa fille ont été retrouvés inconscients aux abords d'un centre commercial de Salisbury. Une semaine plus tard, la Première ministre britannique, Theresa May, a accusé la Russie d'être derrière l'empoisonnement des Skripal, sans toutefois présenter de preuves pour appuyer ses allégations, avant d'expulser 23 diplomates russes du Royaume-Uni.

La Russie a toujours démenti les allégations de Londres. Début avril, les chercheurs du laboratoire britannique de Porton Down ont reconnu ne pas être en mesure d'établir le pays d'où provenait l'agent innervant utilisé dans cette tentative d'assassinat. Le gouvernement russe a demandé à Londres à plusieurs reprises de lui permettre de participer à cette enquête.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a annoncé samedi qu'un laboratoire indépendant situé en Suisse avait analysé les échantillons recueillis par l'OIAC à Salisbury et y avait détecté des traces de l'agent toxique connu comme le BZ. Sa formule faisait partie de l'arsenal de l'armée américaine, britannique ainsi que ceux d'autres pays de l'Otan.

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