Pompeo énonce la condition d’une rencontre Trump-Rohani

© REUTERS / Kevin LamarqueU.S. President Donald Trump sits behind his desk as he announces a bilateral trade agreement with Mexico to replace the North American Free Trade Agreement (NAFTA) at the White House in Washington, U.S., August 27, 2018. REUTERS/Kevin Lamarque
U.S. President Donald Trump sits behind his desk as he announces a bilateral trade agreement with Mexico to replace the North American Free Trade Agreement (NAFTA) at the White House in Washington, U.S., August 27, 2018. REUTERS/Kevin Lamarque - Sputnik Afrique
S'abonner
Donald Trump rencontrera aussi bien Hassan Rohani que n’importe quel autre représentant iranien, même Ali Khamenei, à condition que le dialogue entre les parties soit constructif, a fait savoir le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo.

Le Président américain est prêt à rencontrer le chef du gouvernement iranien Hassan Rohani en marge de la 73e Assemblée générale de l’Onu si les négociations avec la partie iranienne revêtent un caractère constructif, a fait savoir ce dimanche à l’antenne de Fox News le secrétaire d’État américain Mike Pompeo.

«Je ne sais pas si c’est dans les projets. Le Président est extrêmement clair. Si les négociations avec l’Iran sont constructives il les tiendra avec joie», a-t-il répondu à la question du journaliste désireux de savoir si Donald Trump était prêt à rencontrer Rohani à New York.

Et de souligner que son Président était disposé à rencontrer n’importe quel représentant iranien capable de mener un dialogue constructif, même le leader spirituel Ali Khamenei.

President of the Islamic Republic of Iran Hassan Rouhani - Sputnik Afrique
Rohani menace Trump du sort de Saddam Hussein
Plus tôt, la représentante permanente des États-Unis auprès de l’Onu, Nikki Haley, avait déclaré que le Président iranien avait demandé une rencontre avec Trump. La diplomatie iranienne a par la suite réfuté ces informations.

Pour rappel, le 8 mai 2018, Donald Trump a annoncé que son pays se retirait de l'accord signé en 2015 entre les grandes puissances et l'Iran, qui avait accepté d'abandonner son programme nucléaire en échange de la levée d'une partie des sanctions internationales.

Les signataires européens de l'accord de Vienne, officiellement nommé Plan d'action global conjoint, ont promis de faire tout leur possible pour le sauver, malgré le retrait américain, notamment pour préserver les relations commerciales et les investissements pétroliers qui ont repris après son entrée en vigueur.

Fil d’actu
0
Pour participer aux discussions, identifiez-vous ou créez-vous un compte
loader
Chat
Заголовок открываемого материала