«Nous nous attendons à voir ces efforts couronner de bons résultats car la question du désengagement des combattants radicaux et de l'opposition, qui opterait en fin de compte pour un règlement politique, est très compliquée», a ajouté le diplomate.
Dès que ce désengagement sera assuré, les radicaux se dirigeront vers l'intérieur de la province, n'ayant à priori pas d'autres issues, tandis que la région toute entière sera soumise au contrôle du gouvernement, rapporte le vice-ministre.
Les ministres de la Défense des deux pays avaient signé de leur côté un mémorandum sur la stabilisation de la situation dans la zone de désescalade d'Idlib. Téhéran a également constaté que l'accord entre la Russie et la Turquie sur la Syrie avait aidé à prévenir une guerre à Idlib.