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«Piste russe» dans la prétendue attaque chimique en Syrie, main du Kremlin dans l’incident à Salisbury… Un sondage mené pour Sputnik a révélé que la population des pays occidentaux, dont 53% de Français, considérait majoritairement les informations propagées par les médias mainstream sur la Russie comme «non-objectives».
Que ce soit dans l'affaire de l'empoisonnement des Skripal ou dans les informations sur l'attaque chimique présumée en Syrie, la Russie a été présentée dans les deux cas par les médias mainstream sous un mauvais jour. Pourtant, malgré ces accusations qui ne reposent sur rien, la majorité des habitants de certains pays occidentaux (France, Allemagne, Royaume-Uni, États-Unis) ont plutôt tendance à considérer les publications sur la Russie comme «non-objectives», selon un nouveau sondage mené par l'Ifop et «Opinion publique» pour Sputnik.
Sondage: les médias fournissent-ils une information objective sur la Russie dans votre pays?
En particulier, plus de la moitié des Français (53%) et des Allemands (50%), 47% des Britanniques et 43% des Américains pensent que les médias dans leurs pays ne fournissent pas une information objective dès lors qu'il s'agit de la Russie.
En France et en Allemagne, les jeunes âgés de 18 à 30 ans plus que les personnes d'âge moyen et les personnes âgées, clament l'absence d'objectivité sur la Russie dans les médias nationaux: en France, 58% des moins de 35 ans contre 51% de ceux ayant dépassé cet âge, et en Allemagne, 54% parmi les personnes âgées de moins de 35 ans contre 48% dans les autres classes d'âge.
Aux États-Unis et au Royaume-Uni, au contraire, les générations âgées de plus de 35 ans parlent plus souvent de l'absence d'objectivité médiatique à propos de la Russie: aux États-Unis, 46% des personnes ayant plus de 35 ans contre 34% de celles ayant moins de 35 ans, au Royaume-Uni, 51% parmi les personnes âgées de plus de 35 ans, contre 38% parmi les plus jeunes.
Les tensions entre la Russie et le Royaume-Uni ont progressé après la survenue de l'incident qui s'est produit début mars à Salisbury, quand l'ancien agent double russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia ont été empoisonnés. La partie britannique avait immédiatement accusé la Russie d'être derrière l'empoisonnement des Skripal, sans toutefois présenter de preuves pour appuyer ses allégations que la Russie a catégoriquement rejetées. Début septembre, le site Bellingcat, qui avait déjà fait paraître d'autres articles manquant de preuves solides, a affirmé que Rouslan Bochirov, un ressortissant russe suspecté par Londres d'être impliqué dans l'empoisonnement des Skripal, serait «en réalité» un colonel des services russes de renseignement militaire, le GRU, répondant au nom d'Anatoli Tchépiga. Pour la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, cet article de Bellingcat n'est qu'une «intox» qui s'inscrit dans la continuité de la campagne visant à détourner l'attention de ce qui s'est réellement passé à Salisbury.
Début avril, une frappe aérienne sur la ville de Khan Cheikhoun dans la province d'Idlib, en Syrie, avait été suivie par la prétendue intoxication aux produits chimiques de nombreux habitants. Moscou avait démenti avoir été au courant de la préparation d'une prétendue attaque chimique sur la ville de Khan Cheikhoun dans la province d'Idlib. Selon Maria Zakharova, les déclarations des médias mainstream qui accusent Moscou d'avoir été au courant de la préparation d'une telle attaque chimique présumée près d'Idlib, constituent «de fausses informations» et «de simples calomnies».
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