Ils ont osé: le FMI et Bruxelles ont osé demander un prélèvement de près de 10% sur les comptes des épargnants. En dehors d'une spoliation pure et simple, ce projet ouvre une brèche géante dans la confiance des investisseurs et des épargnants dans les banques. Nous ne pouvons plus faire confiance ni aux banques, ni aux Etats, ni à leurs dirigeants.
Courrier des lecteurs ODIN, 2013-03-19 18:53
18:53 19.03.2013 (Mis à jour: 16:05 30.06.2017)
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Ils ont osé: le FMI et Bruxelles ont osé demander un prélèvement de près de 10% sur les comptes des épargnants. En dehors d'une spoliation pure et simple, ce projet ouvre une brèche géante dans la confiance des investisseurs et des épargnants dans les banques. Nous ne pouvons plus faire confiance ni aux banques, ni aux Etats, ni à leurs dirigeants.