Des papillons de Fukushima et d’autres animaux victimes des mutations

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© © Photo : EPALes chercheurs de l'Université japonaise de Ryukyu ont découvert des changements génétiques auprès de l'une des espèces de papillons les plus communes au Japon, le Pseudozizeeria maha. Les scientifiques ont conclu que cette mutation a été provoquée par l'accident survenu à la centrale nucléaire « Fukushima-1 ». Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Nature.Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont recueilli à la préfecture de Fukushima une collection de papillons, qui présentent des signes de mutation. Ces papillons ont des ailes trop petites et des plis à peine perceptibles au niveau des yeux. Des observations plus poussées ont montré que pour les générations suivantes, ces modifications génétiques seront présentes dans une proportion plus importante de la population.Malheureusement, les papillons ne sont pas les seules victimes des catastrophes d'origine humaine.
Les chercheurs de l'Université japonaise de Ryukyu ont découvert des changements génétiques auprès de l'une des espèces de papillons les plus communes au Japon, le Pseudozizeeria maha. Les scientifiques ont conclu que cette mutation a été provoquée par l'accident survenu à la centrale nucléaire « Fukushima-1 ». Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Nature.Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont recueilli à la préfecture de Fukushima une collection de papillons, qui présentent des signes de mutation. Ces papillons ont des ailes trop petites et des plis à peine perceptibles au niveau des yeux. Des observations plus poussées ont montré que pour les générations suivantes, ces modifications génétiques seront présentes dans une proportion plus importante de la population.Malheureusement, les papillons ne sont pas les seules victimes des catastrophes d'origine humaine. - Sputnik Afrique
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Les chercheurs de l'Université japonaise de Ryukyu ont découvert des changements génétiques auprès de l'une des espèces de papillons les plus communes au Japon, le Pseudozizeeria maha. Les scientifiques ont conclu que cette mutation a été provoquée par l'accident survenu à la centrale nucléaire « Fukushima-1 ». Les résultats de la recherche ont été publiés dans la revue Nature.Dans le cadre de l’étude, les chercheurs ont recueilli à la préfecture de Fukushima une collection de papillons, qui présentent des signes de mutation. Ces papillons ont des ailes trop petites et des plis à peine perceptibles au niveau des yeux. Des observations plus poussées ont montré que pour les générations suivantes, ces modifications génétiques seront présentes dans une proportion plus importante de la population.Malheureusement, les papillons ne sont pas les seules victimes des catastrophes d'origine humaine.
© © Photo : RIA NovostiUn cochon, avec un défaut physique dans une ferme d’élevage des porcs dans la région de Jitomir (Ukraine), à 65 km de Tchernobyl. Il est né d’une truie qui est elle-même née en 1987. La place des yeux de ce cochon est recouverte par la peau et il ne possède ni iris, ni la pupille.
Un cochon, avec un défaut physique dans une ferme d’élevage des porcs dans la région de Jitomir (Ukraine), à 65 km de Tchernobyl. Il est né d’une truie qui est elle-même née en 1987. La place des yeux de ce cochon est recouverte par la peau et il ne possède ni iris, ni la pupille. - Sputnik Afrique
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Un cochon, avec un défaut physique dans une ferme d’élevage des porcs dans la région de Jitomir (Ukraine), à 65 km de Tchernobyl. Il est né d’une truie qui est elle-même née en 1987. La place des yeux de ce cochon est recouverte par la peau et il ne possède ni iris, ni la pupille.
© © Photo : RIA NovostiAu début de l'année 2012, on pouvait voir au musée ethnographique de Kiev une tortue à deux têtes, six pattes et deux cœurs. Elle était présentée à une exposition intitulée « Dragons vivants ». Les zoologistes affirment que les deux têtes de la tortue qui n’aurait pas pu survivre dans le milieu naturel, ne se voient pas l’une l’autre.
Au début de l'année 2012, on pouvait voir au musée ethnographique de Kiev une tortue à deux têtes, six pattes et deux cœurs. Elle était présentée à une exposition intitulée « Dragons vivants ». Les zoologistes affirment que les deux têtes de la tortue qui n’aurait pas pu survivre dans le milieu naturel, ne se voient pas l’une l’autre. - Sputnik Afrique
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Au début de l'année 2012, on pouvait voir au musée ethnographique de Kiev une tortue à deux têtes, six pattes et deux cœurs. Elle était présentée à une exposition intitulée « Dragons vivants ». Les zoologistes affirment que les deux têtes de la tortue qui n’aurait pas pu survivre dans le milieu naturel, ne se voient pas l’une l’autre.
© © Photo : EPAUn caneton à quatre pattes est né dans une ferme hongroise. Ce genre de mutations se produisent assez rarement dans le monde des oiseaux, un oiselet sur 10 000 peut naître avec des anomalies. En général, l'espérance de vie d'un oiselet avec des anomalies ne dépasse pas un mois.
Un caneton à quatre pattes est né dans une ferme hongroise. Ce genre de mutations se produisent assez rarement dans le monde des oiseaux, un oiselet sur 10 000 peut naître avec des anomalies. En général, l'espérance de vie d'un oiselet avec des anomalies ne dépasse pas un mois. - Sputnik Afrique
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Un caneton à quatre pattes est né dans une ferme hongroise. Ce genre de mutations se produisent assez rarement dans le monde des oiseaux, un oiselet sur 10 000 peut naître avec des anomalies. En général, l'espérance de vie d'un oiselet avec des anomalies ne dépasse pas un mois.
© © Photo : RIA NovostiDans un garage de Vladivostok vit le chaton Lountik, né avec quatre oreilles. Ses deux oreilles en trop ne possèdent pas de conduits auditifs.
Dans un garage de Vladivostok vit le chaton Lountik, né avec quatre oreilles. Ses deux oreilles en trop ne possèdent pas de conduits auditifs. - Sputnik Afrique
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Dans un garage de Vladivostok vit le chaton Lountik, né avec quatre oreilles. Ses deux oreilles en trop ne possèdent pas de conduits auditifs.
© © Photo : youtube.comUn monstre mystérieux a été retrouvé en été 2012 à New York. C’est un animal qui ressemble à un cochon ou à un chien, mais possède des membres humains. Les scientifiques n’arrivent pas à identifier à quelle espèce appartient cet animal.
Un monstre mystérieux a été retrouvé en été 2012 à New York. C’est un animal qui ressemble à un cochon ou à un chien, mais possède des membres humains. Les scientifiques n’arrivent pas à identifier à quelle espèce appartient cet animal. - Sputnik Afrique
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Un monstre mystérieux a été retrouvé en été 2012 à New York. C’est un animal qui ressemble à un cochon ou à un chien, mais possède des membres humains. Les scientifiques n’arrivent pas à identifier à quelle espèce appartient cet animal.
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