Les chercheurs russes de Novossibirsk travaillent sur un projet de collisionneur censé remplacer de Grand collisionneur de hadrons (LHC), le plus puissant accélérateur de particules au monde. Sur la photo: l'injecteur électron-positron (collisionneur) VEPP-5 de Novossibirsk
L'Institut de physique nucléaire de Novossibirsk a commencé à exploiter des collisionneurs d'électrons et de positrons (VEPP-1, VEPP-2, VEPP-3, puis VEPP-4) pendant les années 1960. Sur la photo: le collisionneur VEPP-3
Le nouveau collisionneur d'électrons et de positrons baptisé Super charm-tau fabric (SuperC-TAU), actuellement à l'étude à Novossibirsk, fait partie de quatre grands projets scientifiques russes. Sur la photo: l'injecteur électron-positron VEPP-5 de Novossibirsk
Le coût du projet SuperC-TAU s'élève à 17 milliards de roubles (370,9 millions d'euros) dont 4 milliards de roubles (93,4 M EUR) pourraient provenir de sources extrabudgétaires. Sur la photo: le détecteur sphérique de particules SND du collisionneur VEPP-2000
En dépit de sa taille géante, le collisionneur a la même mission qu'un microscope ordinaire. Il permet aux chercheurs d'ouvrir une fenêtre nouvelle sur le micromonde. Sur la photo: le détecteur KEDR du collisionneur VEPP-4M
Toutefois, le collisionneur a une résolution plusieurs milliards de fois supérieure à celle d'un microscope. Il peut "voir" les particules élémentaires de l'atome et même leurs éléments, des quarks et des gluons
Le futur collisionneur sera une véritable "usine à particules". Sur la photo: le détecteur sphérique du collisionneur VEPP-2000
Le projet SuperC-TAU permettra d'étudier les phénomènes dépassant le cadre du modèle standard de la physique des particules. Sur la photo: le collisionneur VEPP-5
Anneau de stockage et d'accumulation d'électrons du collisionneur VEPP-4M à l'Institut de physique nucléaire de Novossibirsk
