Cependant, les médias américains ont déjà tout dévoilé à sa place: fin janvier, le Wall Street Journal écrivait qu'à un mois des élections Stephanie Clifford aurait reçu de l'argent pour ne pas dévoiler ses liens intimes avec Donald Trump. Cette liaison aurait eu lieu en 2006, quand le milliardaire était déjà marié à son épouse actuelle Melania. «Ce n'est donc pas une simple aventure, mais un véritable cas d'adultère», souligne le quotidien.
Dans toute cette histoire, on est surpris par la répétitivité des méthodes et des approches utilisées par les rivaux de Trump. Pour une certaine raison, ces politiciens apprécient particulièrement le thème du harcèlement. Il est usé jusqu'à la corde, mais ils n'arrivent toujours pas à passer à autre-chose. Un peu comme un couple qui vit ensemble depuis longtemps: le devoir conjugal est devenu une routine mais il ne leur vient pas à l'esprit d'y renoncer. Il y a fort à parier que l'histoire de Stephanie Clifford ne sera pas la dernière. Si Trump n'était pas destitué, d'autres scandales s'accumuleraient certainement d'ici la prochaine présidentielle en 2020.
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